Catégories Librairie : Patrimoine et Traditions Page 3 of 4

BACS ET PONTS DU COURS DE LA DORDOGNE

A l ‘époque glorieuse de la carte postale, peu avant la guerre de 14, les photographes éditeurs immortalisèrent les bacs encore en service, tout en n ‘oubliant pas de fixer sur la pellicule les ponts petits et grands, suspendus ou maçon-nés, qui peu à peu balisaient le cours du fleuve. C ‘est ce type d ‘illustrations qui a été choisi pour appuyer l ‘historique des lieux, entre le Mont-Dore, première agglomération près de la source, jusqu ‘à Mareuil, dernier bac quercynois avant l ‘entrée du fleuve en Périgord.

Guy Maynard a procédé pendant de longues années à l ‘in-ventaire archéologique de la région pour le compte des Ser-vices Régionaux de l ‘Archéologie du Limousin et de Midi Pyrénées. Il est l ‘auteur de plusieurs ouvrages et de plus de cent articles concernant notre patrimoine.

ABECEDAIRES A QUATRE MAINS

Comment amener les fans de point de croix vers la broderie traditionnelle, et inversement ?
Parce que malheureusement les brodeuses se cantonnent à une seule spécialité, nous avons décidé de leur montrer que le point de croix et la broderie traditionnelle sont deux techniques très proches, qui ont chacune leur charme et sont aussi faciles l’une que l’autre.
Ces deux créatrices ont ainsi décliné trois exercices de style :
• à partir d’un même thème, l’une a proposé une grille point de croix et l’autre un schéma de broderie traditionnelle
• à partir d’un même dessin, l’une l’a brodé en point de croix et l’autre l’a brodé en broderie
traditionnelle
• sur une même toile, elles ont ensemble mélangé des éléments au point de croix et des motifs en broderie traditionnelle.

Les auteurs
Agnés Delage-Calvet est une Cadurcienne, passionnée de broderie traditionnelle. Passé empiétant, passé plat, point de nœud et point de lancé n’ont aucun secret pour elle.
Marie-Anne Réthoret-Mélin est une passionnée de point de croix, elle sait tout dessiner, tout
broder, avec charme, délicatesse et fantaisie.

QUAND LES ÉGLISES DU SÉGALA ONT LA PAROLE

Préfacé par Hélène Kemplaire et Anne-Marie Pécheur, animatrices du Patrimoine à l ‘A.D.V.D. et de l ‘Association Pays d ‘Art et d ‘Histoire.

Première partie : Introduction
– Un aperçu historique du Xe au XIXe siècle
– Une étude sur l ‘art mobilier de nos églises du XVIIe au XIXe siècle
– Une note sur l ‘histoire des clochers et de leurs cloches, et sur les vitraux de la deuxième moitié du XIXe siècle
– Les prêtres et leurs paroisses

Seconde partie : Etude monographique des églises du canton de Sousceyrac et de ses abords
Calviac, Comiac, Lacam d ‘Ourcet, Lamativie, Pontverny, Soucyrac, Lentillac, Senaillac et Notre-Dame de Verdale
Chaque étude d ‘église comprendra :
– Un aperçu historique et chronologique de l ‘église
– Une description de l ‘église (extérieur et intérieur)
– Le recensement des objets mobiliers (tableaux, statues, tabernacle, retable…)
– Une présentation des vitraux
– Quelques aspects de la vie de certains prêtres de la Paroisse

Troisième partie : Annexes et petit glossaire
– Documents divers concernant nos églises et quelques photos des églises qui ceinturent notre canton
– Le petit glossaire où le lecteur trouvera la définition de quelques termes techniques sur l ‘architecture.

CABANES EN PIERRE SÈCHE DE FRANCE

Qu’elles aient été cabanes de berger, de vigneron, ou de défricheur… les questions que leurs admirateurs se posent au sujet de ces « anti-maisons, sans toiture, ni fenêtre ni enduit » sont loin de toutes avoir trouvé une réponse. Heureusement, ces constructions si méticuleusement appareillées, le plus souvent cachées sous les ronces ou se fondant au sein du paysage rural, n’ont pas fait naître que de simples curieux. Elles ont aussi enfanté des passionnés. C’est le cas de Christian Lassure, qui en a fait son objet de recherche et qui s’attache scientifiquement depuis près de trente ans, à l’échelle de la France, à mener des études comparatives dont il dévoile ici tous les secrets pour le lecteur. Ainsi, l’ouvrage fait la lumière sur la présence de cabanes en pierre sèche dans quarante-neuf départements français : ain, Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardèche, Aube, Cher, Dordogne, Drôme, Gard, Haute-Garonne, Haute-Loire, Lot, Rhône, Saône-et-Loire, Vaucluse,… C’est aussi le cas de Dominique Repérant dont l’un des grands bonheurs est de les traquer – comprenez de les dénicher, d’en découvrir de nouvelles, méconnues de tous, et de les photographier artistiquement après les avoir libérées de leur manteau de ronces… Une façon fort agréable de revisiter la grande entreprise de conquête agricole que connut la France aux xviiie et xixe siècles, magnifiquement servie par les qualités de prises de vue exceptionnelles de Dominique Repérant.

LA VIE D’AUTREFOIS DANS LE LOT

Cet ouvrage a pour dessein de rendre hommage à ceux qui nous ont précédés dans une période riche en transformation : 1880-1920.
La Belle Époque, comme on appellera plus tard cette période, apparaîtra les années suivantes une époque bénie. Que de changements dans ces trente et quelques années, changements irréversibles qui sont le fondement de notre vie quotidienne actuelle !
Les diligences et les chevaux commencent à céder la place à la voie ferrée et à l ‘automobile. Bientôt à l ‘avion, qui pour l ‘instant n ‘est qu ‘une curiosité attirant des foules à l ‘occasion de « meetings » locaux.
Voici le tramway dans les rues, le gaz « à tous les étages », l ‘électricité qui entre dans les maisons, les trains qui s ‘arrêtent dans nombre de villes et de villages et s ‘imposent comme mode de déplacement indispensable.

Présentation de l ‘auteur :
Régis GRANIER, a publié de nombreux livres, dont “Le Gers autrefois ” et “Le Tarn-et-Garonne autrefois “, tous deux aux Editions Horvath.

LES GABARES DE DORDOGNE

La rivière Dordogne a toujours été le théâtre d’échanges économiques. C’est à partir de la seconde moitié du XVe siècle que le trafic fluvial va se développer. La batellerie prend son essor autour d’Argentat, sur la haute Dordogne. On construit alors des gabares, bateaux longs à fond plat appelés « argentats ».
Les gabariers doivent se méfier des pièges de la Dordogne pour amener à destination leur cargaison hétéroclite.
L’existence de ces embarcations se limite au temps de la descente de la rivière : ils sont détruits à leur arrivée et débités en bois de chauffage.
Aujourd’hui, dans le Sarladais, les gabares Norbert constituent un moyen original de découvrir au fil de l’eau des sites prestigieux comme La Roque-Gageac, les châteaux de Montfort, de Marqueyssac et de Castelnaud.

MOULINS A VENT ET MEUNIERS DES PAYS D ‘OC

Patrimoine autrefois indispensable des campagnes et des villes, les moulins à vent disposent désormais, à juste titre, de leur ouvrage de référence. Ce livre illustré de photos et de gravures se décompose en un avant-propos dédié “à la vie et à la mort des moulins à vent “, d ‘une première partie consacrée à l ‘architecture et à la technologie de ces bâtisses ailées, d ‘une deuxième partie dédiée aux “mots des moulins “, elle même composée d ‘un dictionnaire languedocien-français de meunerie à vent, d ‘un glossaire thématique, d ‘un répertoire de proverbes et de dictons, sans oublier un panel de devinettes.

LE LAGUIOLE

Si le laguiole fut d’abord un couteau des champs, sa ligne élégante et le talent des créateurs le transformèrent en une pièce de collection. Aujourd’hui son histoire continue de s’écrire à travers des hommes et un pays, tandis que des créateurs, comme Philippe Starck, signent à leur tour des modèles originaux. LE LAGUIOLE, une lame de légende

MOULINS A EAU ET A VENT DE LOT-ET-GARONNE

Le Moulin représente le premier vestige industriel de notre temps, le premier moteur indépendant de l ‘homme et de l ‘animal. Le Moulin écrase le blé, les noix, les olives, les écorces de chênes, il met en mouvement les soufflets et les marteaux de forges, pile les chiffons, matière première du papier, foule le tissu. Les énergies hydrauliques et éoliennes sont les seules utilisable en Lot-et-Garonne jusqu ‘au début du XIXe siècle, avec quatre cent quatre-vingts moulins à vent et neuf cent deux moulins à eau. Dans la diversité de leur silhouettes et de leurs pierres, c ‘est d ‘une seule voix que les moulins à eau et à vent de Lot-et-Garonne s ‘adressent à notre mémoire et nous invitent à la découverte.

LA VIE D ‘AUTREFOIS EN TARN-ET-GARONNE

Présentation:
Qui se souvient qu ‘en 1790, lorsque l ‘Assemblée Constituante mit en place les départements français, le Tarn-et-Garonne n ‘existait pas. Montauban, malgré les titres de son passé, n ‘était qu ‘une simple sous-préfecture lotoise.
C ‘est Napoléon, en voyage dans le Sud-Ouest, qui rattrapa cette injustice: posant sa main à plat sur une carte, il dessina à gros traits le département du Tarn-et-Garonne: un peu de Rouergue et de Quercy, quelques coteaux de Lomagne autour des plaines alluviales. Telle est l ‘histoire de la naissance de cette étonnante mosaïque où des gens vivent, travaillent, et sont parfois heureux, comme nous le montre cet ouvrage.
L ‘auteur, Régis Granier, y a juxtaposé, pour le plus grand plaisir du lecteur, des images du début du siècle et des anecdotes de la vie quotidienne. Ainsi renaissent les silhouettes d ‘antan des hommes, femmes ou enfants, nés ici ou venus d ‘ailleurs, qui animèrent les rues et les places, les champs et les villages du département.
Avec La vie d ‘autrefois en Tarn-et-Garonne, Régis Granier nous offre un livre tonique, passionnant, savoureux, riche d ‘évocations du passé. Un livre à lire aussi bien qu ‘à feuilleter, un document!

Présentation de l ‘auteur:
Régis GRANIER, a publié de nombreux livres, dont “Le Gers autrefois ” et “Le Tarn-et-Garonne autrefois “, tous deux aux Editions Horvath.

Sommaire:
– Trois pas dans le passé
– Quelques paysages
– Fleuves et rivières
– Les gens d ‘ici
– Le progrès en marche
– Les hommes et leurs travaux
– Quelques faits divers
– La guerre marque la fin de la Belle Epoque

NOMS DE LIEUX DU QUERCY ET DES COMMUNES DU LOT

Qui d’autre en Quercy, que Gaston Bazalgues pouvait mieux offrir meilleure analyse des noms de lieux, mots usuels lotois et étymologie de l’ensemble des communes du département. Né à Couzou, au coeur du Causse gramatois, ce fils d’agriculteur modeste hérite d’une ténacité exemplaire qui le conduira, sans difficulté, à un cursus universitaire exceptionnel.

Après des études secondaires au Lycée Gambetta de Cahors, il intègre l’Université de Montpellier où, à la suite de quelques années de professorat à Carcassonne, il assure, d’abord, la charge d’Assistant de grammaire en faculté.

Membre d’une équipe du CNRS, il se spécialise en sociolinguistique et ethnolinguistique, se consacre à l’enseignement de l’occitan et devient membre du Conseil national des universités.

Il publie chez Omnivox-BBC la première méthode d’apprentissage de l’occitan. Avec son épouse, Jacqueline, docteur de troisième cycle en Études Romanes, et à qui l’on doit la publication des Lettres d’un poilu aux Archives du Lot, il participe à la rédaction de l’ Encyclopédie Bonneton, Le Lot , ouvrage exhaustif remarquable et unique en qualité sur notre département.

Ce couple d’érudits, en parfaite symbiose, prépare maintenant plusieurs ouvrages sur le Lot, carrefour culturel. Imprégné de son terroir quercynois, voué à l’étude du contact des langues et des cultures, en quête permanente de documents inédits, ce puriste lotois, Gaston Bazalgues, auteur de multiples essais dans diverses revues, affirme ne jamais détenir totale vérité puisque, dit-il : « La recherche n’est jamais définitive, demain peut apporter beaucoup. ».

Éditions de la Bouriane et du Quercy, Gourdon, 2002, 133 p.

Toponymie lotoise. Lexique des mots usuels

Gaston BAZALGUES

 

LES VILLES DU QUERCY AU MOYEN AGE

En 1979 paraissait le second dossier su Service Éducatif des Archives du Lot, consacré aux “Villes du Quercy au Moyen Age “.
Ce dossier était élaboré par Étienne Baux, agrégé de l ‘Université, alors chargé du Service Éducatif, avec la collaboration de Christiane Le Stum(+), archiviste-paléographe et directeur des Archives Départementales.
Ce dossier a été rapidement épuisé et il a paru nécessaire d ‘en présenter une nouvelle édition, prenant en compte les dernières recherches menées sur cette période.
Poour ce faire, Étienne Baux, actuellement chargé de cours à l ‘Université de Toulouse-Le Mirail, et Chantale Chabaud, professeur d ‘Histoire-Géographie au collège Gambetta de Cahors et responsable du Service Éducatif des AD du Lot depuis 1996, ont conjugué leurs talents : le premier en mettant à jour les documents et commentaires présentés dans l ‘édition de 1979, la seconde en élaborant le guide d ‘utilisation pédagogique. Emmanuel Maury, emploi-jeune recuté par le Conseil Général pour renforcer le Service Éducatif, a assuré les corrections, la relecture et la mise en page de cet ouvrage, dont le financement a été permis conjointement par le Conseil Général du Lot et par le Ministère de la Culture (Direction Régionale des Affaires culturelles).
Ainsi les reproductions, transcriptions, voire traductions de textes médiévaux, accompagnées de plans, de croquis, de photographies et de commentaires, permettront un travail fructueux aux classes qui étudient cette période passionnante de l ‘Histoire. Mais nous espérons que cette publication offrira également à un public plus large d ‘accéder à des éléments mal connus de l ‘histoire du Quercy.
Hélène Duthu-Latour
Conservateur en chef du Patrimoine, Directrice des Archives Départementales du Lot

ROCAMADOUR, un prêtre raconte la roche mariale

” Rocamadour est une étape incontournable pour les circuits touristiques parcourant le Quercy, le Périgord ou le Limousin. La réputation de son site extraordinaire est solidement établie depuis l ‘époque des ” voyages pittoresques et romantiques dans l ‘ancienne France “. Mais Rocamadour est plus que cela. A mi-houteur de son immense falaise calcaire se niche une petite chapelle où, depuis très longtemps, l ‘on vient prier une étrange vierge noire. En effet, dès le XIIe siècle, Rocamadour a pris place parmi les plus importants pèlerinages de l ‘Europe chrétienne. Des rois et des reines, des princes et des seigneurs, des riches et des pauvres y sont venus en pèlerins. Rocamadour était une sorte de Lourdes pour les chrétiens du Moyen Age ; sa réputation s ‘est étendue bien au-delà des frontières : Notre-Dame de Rocamadour faisait des miracles en faveur des marins au péril de la mer… Ce livre vous mène jusqu ‘au coeur de cette roche mariale et vous révèle quelques-uns des aspects majeurs de ce pèlerinage. ”

L ‘ÉPÉE DE ROCAMADOUR

Midi-Pyrénées : une région qui comprend au nord le Lot et l ‘Aveyron, le Tarn-et-Garonne, le Tarn, le Gers, les Hautes-Pyrénées, l ‘Ariège enserrant la Haute-Garonne et sa capitale, la belle Tolosane. Laissez-vous conduire dans ces huit départements aux accents du midi, riches de sites extraordinaires tels que le gouffre de Padirac, le château de Montségur, ou encore Rocamadour, deuxième lieu de pèlerinage d ‘Europe après Saint-Jacques de Compostelle. Des légendes, des faits mystérieux y sont attachés. Ne peut-on pas reconnaître, près de la grotte où se réfugiait Amadour, la fameuse épée de Roland apte à donner un mari aux jeunes filles qui le désirent ? Les géants des Pyrénées côtoient le gentil génie protecteur des récoltes. Les loups-garous hantent les forêts, les dracs aux manifestations diverses tentent de voler l ‘âme des hommes. Le pauvre Carnaval est brûlé sur place publique. Mais voilà que gronde l ‘orage dans les lointains. Pour l ‘éloigner, les cloches sonnent à toute volée, le curé pyrénéen lance son soulier vers le ciel, d ‘autres cachent dans les murs une pierre de foudre. Prêtez l ‘oreille, aiguisez votre regard… N ‘y a-t-il pas une fée auprès de cette source ou de ce dolmen ? N ‘y vient-on pas en procession pour guérir une maladie ou demander la pluie ? Toutes ces traditions dominées par les fêtes, chrétiennes ou païennes, rythmaient les saisons…
Colette Laussac.

LE BRONZE ANCIEN ET MOYEN DES GRANDS CAUSSES ET LES CAUSSES DU QUERCY

Cet ouvrage propose une synthèse sur le Bronze ancien et moyen des Grands Causses (Aveyron, Lozère, Gard, Hérault) et des Causses du Quercy (Lot, Tarn, Tarn-et-Garonne). Traitant successivement le Bronze ancien puis le Bronze moyen, l’auteur détaille l’aspect culturel et matériel des deux régions. Puis ces faciès sont replacés dans le cadre plus vaste de la moitié sud de la France, soulignant ainsi les relations interrégionales, en particulier avec le Languedoc et le Centre-Ouest.

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