Cet ouvrage apporte les témoignages et évoque les actions de ceux qui, issus de l ‘Armée Secrète, ont fusionné avec les Groupes Vény en novembre 1943. De nombreux résistants appartenant à d ‘autres formations ne sont pas cités, d ‘autres encore ne le sont que très brièvement. Il ne faut pas y voir un oubli ou la sous-estimation de leur action mais la volonté de rester dans le cadre de l ‘histoire des A.S. Vény du Lot.
Que tous les hommes qui, dans la nuit profonde de 1940, ont imaginé la Résistance, que tous ceux qui les ont peu à peu rejoints dans leur longue traque sachent que, quelle que soit leur bannière, les A.S. Vény les considèrent comme des frères d ‘un même combat pour le même drapeau : celui de la France.
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Comment amener les fans de point de croix vers la broderie traditionnelle, et inversement ?
Parce que malheureusement les brodeuses se cantonnent à une seule spécialité, nous avons décidé de leur montrer que le point de croix et la broderie traditionnelle sont deux techniques très proches, qui ont chacune leur charme et sont aussi faciles l’une que l’autre.
Ces deux créatrices ont ainsi décliné trois exercices de style :
• à partir d’un même thème, l’une a proposé une grille point de croix et l’autre un schéma de broderie traditionnelle
• à partir d’un même dessin, l’une l’a brodé en point de croix et l’autre l’a brodé en broderie
traditionnelle
• sur une même toile, elles ont ensemble mélangé des éléments au point de croix et des motifs en broderie traditionnelle.
Les auteurs
Agnés Delage-Calvet est une Cadurcienne, passionnée de broderie traditionnelle. Passé empiétant, passé plat, point de nœud et point de lancé n’ont aucun secret pour elle.
Marie-Anne Réthoret-Mélin est une passionnée de point de croix, elle sait tout dessiner, tout
broder, avec charme, délicatesse et fantaisie.
Comment amener les fans de point de croix vers la tapisserie, et inversement ?
Parce que malheureusement les brodeuses se cantonnent à une seule spécialité, nous avons décidé de leur montrer que le point de croix et la tapisserie sont deux techniques très proches, qui ont chacune leur charme et sont aussi faciles l’une que l’autre.
Agnès Delage-Calvet propose dans cet ouvrage des modèles de tissus et “papiers peints” fleuris très faciles à réaliser, aux motifs et aux coloris très “tendances”, à broder aussi bien au point de croix qu’en tapisserie. Une façon originale de montrer qu’à partir d’une même grille, on peut obtenir des résultats tout à fait différents selon la technique utilisée.
Auteur :
Agnés Delage-Calvet, cadurcienne, créatrice textile passionnée par l ‘art du fil, elle
est une passionnée de broderie traditionnelle. Elle travaille depuis plus de dix ans avec des magazines dans lesquels elle propose des dessins de broderie ou de tapisserie.
Passé empiétant, passé plat, point de nœud et point de lancé n’ont aucun secret pour elle. Elle a le don incroyable de dessiner en imaginant à l’avance la broderie définitive en relief.
Collection cahier du créateur
La collection – Cette collection présente un créateur et son travail. Chaque ouvrage propose, dans la première partie, d’entrer dans l’intimité d’un créateur et de découvrir sa personnalité, ses sources d’inspiration, ses techniques de reproduction, ainsi que sa façon de travailler et son matériel. La deuxième partie, plus importante, présente de nombreux ouvrages sur le thème traité et leur grilles (de 20 à 40 modèles), afin que chacun puisse les reproduire.
Délicates, gaies et pourtant très faciles à faire, les nappes en broderie traditionnelle présentées dans cet ouvrage ne sont qu’une infime partie des trésors que recèlent ses armoires. Tout chez elle est prétexte à dessin et à broderie. Une artiste, tout simplement…
Auteur :
Agnés Delage-Calvet, cadurcienne, créatrice textile passionnée par l’art du fil, elle
est une passionnée de broderie traditionnelle. Elle travaille depuis plus de dix ans avec des magazines dans lesquels elle propose des dessins de broderie ou de tapisserie.
Passé empiétant, passé plat, point de nœud et point de lancé n’ont aucun secret pour elle. Elle a le don incroyable de dessiner en imaginant à l’avance la broderie définitive en relief.
Collection cahier du créateur
La collection – Cette collection présente un créateur et son travail. Chaque ouvrage propose, dans la première partie, d’entrer dans l’intimité d’un créateur et de découvrir sa personnalité, ses sources d’inspiration, ses techniques de reproduction, ainsi que sa façon de travailler et son matériel. La deuxième partie, plus importante, présente de nombreux ouvrages sur le thème traité et leur grilles (de 20 à 40 modèles), afin que chacun puisse les reproduire.
Marianne et son compagnon Charles quittent la vie stressante de Paris pour s ‘installer à Eyriac, petit village du causse situé aux confins du Lot et de la Corrèze. En dehors du temps, la vie s ‘y écoule paisiblement semble-t-il, quoiqu ‘un peu perturbée par les commérages et autres querelles de village. Paradoxalement, le bourg se meurt, sous le regard passif d ‘un maire égocentrique et sans scrupules (…) les commercent tombent en même temps que sonne le retraite de leurs propriétaires. L ‘arrivée du couple aura son importance, mais laquelle ?
Paul Pessonnerie est né à Alassac en Corrèze et vit actuellement dans le Lot où il travaille en tant que cadre technique chez un industriel de l ‘agroalimentaire du nord du département.
Gourmet de la vie, Jean-Michel Jardry est chroniqueur de la vie périgourdine au travers notamment des rubriques Randonnée et de la table du Journal du Périgord. L ‘homme, acteur attentif et passionné de ce terroir qu ‘il parcourt depuis quatre ans, nous propose ici le résultat de ses pérégrinations qui prennent forme avec ces trente promenades gourmandes totalement inédites. Jean-Michel Jardry y déguste la sensualité des goûts, des couleurs et des odeurs qui incarnent ce Périgord merveilleux et sublime, en un mot « authentique « . En épilogue, il nous conseille un florilège de bonnes adresses.
« René Yronde raconte sa vie, son temps sans cesse qui le ramène au bord de la dordogne, qui nulle part n ‘est plus belle qu ‘à Souillac. Mayrac et la maison familiale, Pinsac et les « flons-flons » de la fête., Souillac où il vécut ses deux passions, son métier d ‘instituteur et sa vocation de correspondant de presse. Nous avons tous regretté, un jour ou l ‘autre, de ne pas avoir su conserver ces souvenirs d ‘un temps passé qu ‘ont toujours égrenés celles et ceux qui nous ont quitté… » »
Cet extrait de la préface signé de Martin Malvy, actuel président du Conseil général de Midi-Pyrénées, résume bien l ‘esprit de cet ouvrage, qui constitue un témoignage que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître.
La guerre de Cent Ans ! Aujourd’hui presque oubliée, elle entraîna pourtant vers la mort des dizaines de milliers d’individus dans tout le royaume de France.
En Quercy, ses effets furent effroyables car la province était une zone “frontière”, aux portes de l’Aquitaine anglaise. Lorsque les premiers détachements anglais se ruèrent vers la ville en 1345, les consuls de Cahors prirent immédiatement toute une série de mesures pour renforcer les défenses.
Tout au long du conflit, ils poursuivirent leur action, organisant leurs forces, achetant de l’artillerie, construisant des fortifications.
Les Cadurciens d’alors consentirent d’importants sacrifices financiers pour se protéger, mais c’est physiquement qu’ils payèrent le plus de leurs personnes.
Réquisitionnés pour construire les murailles, ils montaient la garde jour et nuit et combattaient les armes à la main. La guerre n’était pas le seul fléau du temps : les désordres climatiques occasionnèrent la perte des récoltes et des famines à répétition, tandis que les épidémies de peste se succédèrent à partir de 1348.
Vers 1440, c’est appauvrie,
différente et diminuée de moitié que la société cadurcienne retrouva la paix.
C’est cette période noire, qui fut si longue, que le présent ouvrage vous invite à découvrir.
1943-1944, en Auvergne. Secrétaire en chef d’une petite sous-préfecture, Adrien Jaubert conjugue ses fonctions avec une mission relevant d’un choix : la Résistance. Martha Silbermann, nom de code Hélène, est envoyée en mission dans le Cantal par l’Etat-major interallié, pour organiser des parachutages et assurer des liaisons entre les différents réseaux et les groupes de partisans qui attendent dans la montagne le signal du dernier combat.
Emportés dans la tourmente de l’histoire, Adrien et Martha vont partager le rude pain des maquis et une passion ardente au cœur des forêts de la Margeride, sur le mont Mouchet, jadis domaine des loups, devenu, à l’instar du Vercors, un lieu culte pour la grande messe de la liberté.
« Le passé très riche du village de Laramière méritait un livre en raison en particulier de la présence du prieuré qui eut une importance considérable dans la vie des habitants, les guerres et les évènements qui se succédèrent eurent de l ‘influence sur la vie de la population. Le prieuré avait des possessions dans le Quercy et dans le Rouergue en particulier à Villefanche « .
Cette histoire, c ‘est celle d ‘un village qui compta jusqu ‘à environ 1200 habitants dans les siècles passés que nous raconte Gisèle Cazeaux, dans un livre qui intéressera les personnes attachées à leurs racines et au passé de leurs ancêtres. On y trouve, outre les faits historiques, des renseignements sur les occupants, et en particulier les noms des propriétaires de terres en 1675. Sont aussi abordés les métiers des habitants au cours des siècles avec leur nom, leur surnom et le mas où ils habitaient ainsi que les prieurs et les notables.
Si tout le monde connaît le pastel, craie de pigment fréquemment utilisée par les peintres, il n’en est pas de même pour la fleur jaune du même nom, une des rares sources naturelles de colorant bleu.
Peu usité jusqu’alors, le bleu connaît, dès le fin du Moyen Âge, un engouement qui ne se dément pas, de nos jours encore. Principalement cultivé dans le Lauragais, le pastel devient essentiel pour les drapiers et teinturiers d’Europe. De Londres à Anvers, le précieux colorant se négocie sur toutes les places boursières. Culture et exportation du pastel engendrent un véritable âge d’or pour l’Albigeois et le Midi Toulousain. Pendant plus d’un siècle, Toulouse, jusqu’alors simple place agricole, connaît une expansion extraordinaire, tant au plan économique que culturel. Château pasteliers et somptueux hôtels particuliers sont les magnifiques témoins de cette Renaissance Toulousaine.
Ce livre conte l’histoire fabuleuse d’une simple plante fourragère qui, à la Renaissance couvrit d’or et de prestige les grands marchands du pays d’oc.
La Nuit de l ‘identique est un roman à intrigue policière entièrement rédigé en alexandrins.
Vive, très rythmée, privilégiant l ‘humour et les personnages hauts en couleur, cette oeuvre porte un regard neuf sur la poésie versifiée et nous réconcilie avec le genre.
Un polar en alexandrins ?
L ‘idée première est de donner à lire un texte original, savoureux et drôle. Le langage est simple, les vers ne font pas obstacle à la lecture.
Quand ? Où ?
Le roman se déroule de nos jours, dans le Sud-Ouest de la France, principalement à Figeac. Dans cette cité médiévale admirablement préservée est né Jean-François Champollion, l ‘éminent égyptologue. C ‘est en étudiant la fameuse pierre de Rosette qu ‘il déchiffra les hiéroglyphes. Une reproduction de cette pierre figure au centre de la place des Écritures de Figeac, près de sa maison natale.
L ‘intrigue…
Sophie, détective privé à Monaco et ancienne chanteuse de jazz, part quelques jours en vacances à Figeac, chez son ancien pianiste. Elle est accompagnée par Albert, un garde du corps qui ne manque pas d ‘humour ; le lecteur découvre assez vite qu ‘il s ‘agit en fait d ‘un perroquet.
Dès le premier soir, les vacances s ‘annoncent sous de sinistres augures : Sophie découvre un hommegrenouille allongé sur la pierre de Rosette, mort…
Comme le veut la loi du genre, l ‘intrigue prévoit…
– une POURSUITE EFFRÉNÉE dans une zone industrielle sordide ;
– L ‘ÉVANOUISSEMENT DE L ‘HÉROÏNE à la suite de l ‘absorption d ‘une boisson suspecte ;
– une scène d ‘ESPIONNAGE, un soir, dans une entreprise (avec ouverture de coffre-fort) ;
– quelques scènes hautement SENSUELLES ;
– l ‘apparition récurrente d ‘UN TYPE ANTIPATHIQUE et manifestement dangereux ;
– la naissance de soupçons entre l ‘héroïne et une personne qui l ‘accompagne dans l ‘enquête ;
– l ‘intervention d ‘une « main invisible » ;
– l ‘utilisation de quelques GADGETS ÉLECTRONIQUES ;
– la SÉQUESTRATION d ‘un des membres de l ‘équipe (Albert en l ‘occurrence)…
Enfin, La Nuit de l ‘identique doit également beaucoup à l ‘univers du JAZZ et du RUGBY.
Le début du livre…
Infinités cosmiques et cacahouètes salées
(Ce n ‘est pas parce qu ‘on regarde les étoiles qu ‘on doit avoir le ventre vide)
Vendredi 18 mai, entre Toulouse et Nîmes.
Philosophe aguerri, penseur de l ‘univers,
Albert nous initie aux pensées qui l ‘animent
Et exerce en passant ses glandes salivaires.
C ‘était au mois de mai sur les routes du sud.
Toit ouvert, tête au vent, nous fendions la nuit sombre.
Je scrutais les étoiles, en devinais le nombre,
Et Sophie conduisait comme à son habitude.
Ignorant le panneau » Vignobles de l ‘Hérault »
Mon regard se perdait dans la voûte sans lune.
Je me voyais volant de Prague à Pampelune,
Menant une équipée dont j ‘étais le héros.
Mais l ‘obscure clarté qui descendait des astres
Ramena mes pensées vers ce point essentiel :
Avons-nous des cousins quelque part dans le ciel ?
» Albert, nous approchons ! Sortie 9 : Béziers Castres ! »
Andrée Feydel-Capelle avait caché à beaucoup ses talents poétiques. Par le biais du Centre Communal d ‘Action Sociale qu ‘elle préside, une élue municipale, a décidé d ‘éditer un recueil rassemblant tous ces textes : elle avait été particulièrement touchée par leur sensibilité à fleur de peau, leur poids d ‘émotion et de vécu.
Un petit livre a placer entre des mains de tous âges, pour se réchauffer l ‘esprit à l ‘humanité d ‘une vie toute simple, en terre de Quercy.
Qu’elles aient été cabanes de berger, de vigneron, ou de défricheur… les questions que leurs admirateurs se posent au sujet de ces « anti-maisons, sans toiture, ni fenêtre ni enduit » sont loin de toutes avoir trouvé une réponse. Heureusement, ces constructions si méticuleusement appareillées, le plus souvent cachées sous les ronces ou se fondant au sein du paysage rural, n’ont pas fait naître que de simples curieux. Elles ont aussi enfanté des passionnés. C’est le cas de Christian Lassure, qui en a fait son objet de recherche et qui s’attache scientifiquement depuis près de trente ans, à l’échelle de la France, à mener des études comparatives dont il dévoile ici tous les secrets pour le lecteur. Ainsi, l’ouvrage fait la lumière sur la présence de cabanes en pierre sèche dans quarante-neuf départements français : ain, Alpes-de-Haute-Provence, Alpes-Maritimes, Ardèche, Aube, Cher, Dordogne, Drôme, Gard, Haute-Garonne, Haute-Loire, Lot, Rhône, Saône-et-Loire, Vaucluse,… C’est aussi le cas de Dominique Repérant dont l’un des grands bonheurs est de les traquer – comprenez de les dénicher, d’en découvrir de nouvelles, méconnues de tous, et de les photographier artistiquement après les avoir libérées de leur manteau de ronces… Une façon fort agréable de revisiter la grande entreprise de conquête agricole que connut la France aux xviiie et xixe siècles, magnifiquement servie par les qualités de prises de vue exceptionnelles de Dominique Repérant.
Préfacé par Hélène Kemplaire et Anne-Marie Pécheur, animatrices du Patrimoine à l ‘A.D.V.D. et de l ‘Association Pays d ‘Art et d ‘Histoire.
Première partie : Introduction
– Un aperçu historique du Xe au XIXe siècle
– Une étude sur l ‘art mobilier de nos églises du XVIIe au XIXe siècle
– Une note sur l ‘histoire des clochers et de leurs cloches, et sur les vitraux de la deuxième moitié du XIXe siècle
– Les prêtres et leurs paroisses
Seconde partie : Etude monographique des églises du canton de Sousceyrac et de ses abords
Calviac, Comiac, Lacam d ‘Ourcet, Lamativie, Pontverny, Soucyrac, Lentillac, Senaillac et Notre-Dame de Verdale
Chaque étude d ‘église comprendra :
– Un aperçu historique et chronologique de l ‘église
– Une description de l ‘église (extérieur et intérieur)
– Le recensement des objets mobiliers (tableaux, statues, tabernacle, retable…)
– Une présentation des vitraux
– Quelques aspects de la vie de certains prêtres de la Paroisse
Troisième partie : Annexes et petit glossaire
– Documents divers concernant nos églises et quelques photos des églises qui ceinturent notre canton
– Le petit glossaire où le lecteur trouvera la définition de quelques termes techniques sur l ‘architecture.