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REFLETS DE VIE

Cet ouvrage est né d’une passion ! La passion de toute une équipe pour son histoire… Remonter « dans le temps » n’est pas seulement la recherche d’anecdotes, de noms et d’ancêtres décrépis. C’est un puzzle. S’il manque un morceau, rien ne peut-être construit § Le moindre détail a son importance. Il faut chercher, fouiner, ne jamais se décourager.
Nous avons eu la chance de pouvoir étudier une grande partie des actes des notaires Escudié. Papiers déjà chiffonnés, relégués au fond d’un grenier, puis jetés aux ordures, ils auraient fini « papiers pourris » si des mains compatissantes ne les avaient sauvés.
Frottés, dépoussiérés, photocopiés, déchiffrés, lus et relus avec passion et mal de tête, nous les avons transcrits en phrases claires, faciles à lire et contenant « l’essentiel ». Le détail est dans la photocopie du document original. Nous présentons au lecteur ces 3014 actes en espérant qu’il y trouvera du plaisir, de l’étonnement ainsi que le désir de découvrir et protéger ce passé si passionnant….

LES BOULETS ROUGES
DE LA COMMUNE

« En cette année 1870, le 4 septembre tombe un dimanche. Tombe bien même : le cœur n’est pas à l’ouvrage. »

En effet, la capitale est assiégée par les Prussiens. Les Parisiens se battent contre le froid et contre la faim… Pour survivre, ils achètent à prix d’or du chien, du chat… puis du rat. Le 18 mars 1871, affamée, humiliée, révoltée, la capitale proclame la Commune. Lorsque, plus tard, cette Commune agonise sous la plus sauvage des répressions, que reste-t-il des grandes espérances d’Angèle, qui rêvait d’une école pour tous, du mariage d’Eugénie, qui voulait défendre l’Alsace, et de Margalide, désirant seulement vivre son amour ?

Un roman chargé d’émotions vraies où de jeunes gens aiment, se battent, meurent pour un idéal et pour le petit peuple de Paris.

SOUS LA ROBE DE MARGAUX

L ‘été s ‘annonce difficile, la canicule est meurtrière, les vignobles sont en souffrance, les humeurs s ‘échauffent et les passions s ‘exacerbent. Lorsque Margaux, fille de l ‘oenologue Benjamin Coker, débarque sur les terres de son enfance pour y passer ses vacances, personne ne peut se douter qu ‘elle va au devant d ‘un grand danger. Entre la douceur du bassin d ‘Arcachon, les nuits résineuses du Cap Ferret, la torpeur engourdie de Bordeaux et les paysages brûlés du Médoc, Cooker mène une enquête qui touche au plus près. Les vins de Margaux, tendres et délicats, cachent parfois des secrets sous leur robe élégante..

GUIDE DE LA FRANCE CÔTÉ NATURE

Guide national. Région par région, ce guide qui couvre l’ensemble du territoire national propose plus de 1000 adresses pour découvrir une France “verte”, non loin parfois des grands ensembles urbains. Bien sûr, il répertorie et décrit les parcs nationaux et régionaux, les plus beaux sites naturels mais il permet également de visiter jardins botaniques, sentiers dede découvertes, parc animaliers…: une mine d’idées de visites.

LE SUD OU L’AUTRE. La France et son Midi

La France s’est faite d’un Nord (“la vraie France”, selon Michelet) et d’un Midi, qui pour l’essentiel est le pays d’une autre langue, la langue d’oc, d’une autre culture et d’un autre “tempérament”. Mais officiellement la création originale représentée par cette littérature occitane de niveau européen, est étouffée et maintenue au “secret d’État”.L’auteur entend ici aller plus loin qu’une dénonciation de cette mise aux oubliettes. Il veut montrer quelles distorsions ce préjugé entretient au coeur même du sentiment national et comment l’absence d’une reconnaissance de l’Autre, du Midi, crée un malaise de la conscience collective, qui résonne dans des oeuvres de la littérature de France.Il choisit pour cela trois grands moments de la genèse du fait national.- Au XIIe siècle, entre 1100 et 1150, le pays d’oc prend une avance littéraire fulgurante. Dans le domaine de la création narrative et épique, il en serait de même si une vague d’oïl ne submergeait pas la création méridionale à partir du XIIIe siècle. Ainsi se met en place un couple idéologique: le Midi est lyrique, raffiné et féminin, le Nord est héroïque, brutal et mâle, et l’enseignement éduquera les Français au Nord seul, responsable de l’”épopée nationale”.- Au XVIe siècle, au sortir des guerres de Religion, une littérature d’oc se reconstitue autour principalement d’Henri III de Navarre, le “héros gascon”. Le Nord se réserve l’“être” et enferme le Midi dans le “paraître”. – Au XIXe siècle, la France s’industrialise et crée autour de Paris, une classe bourgeoise qui porte la nation moderne. Pour celle-ci, le Midi devient un pays lointain. Parallèlement, la vague européenne des nationalités éveille une nouvelle littérature d’oc qui atteint un sommet avec Mistral. Trois auteurs provençaux servent à appronfondir l’analyse du “mal d’être” méridional jusqu’à un mal intime du sujet écrivant: Daudet, Giono et Pagnol.

LA VIE D’AUTREFOIS DANS LE LOT

Cet ouvrage a pour dessein de rendre hommage à ceux qui nous ont précédés dans une période riche en transformation : 1880-1920.
La Belle Époque, comme on appellera plus tard cette période, apparaîtra les années suivantes une époque bénie. Que de changements dans ces trente et quelques années, changements irréversibles qui sont le fondement de notre vie quotidienne actuelle !
Les diligences et les chevaux commencent à céder la place à la voie ferrée et à l ‘automobile. Bientôt à l ‘avion, qui pour l ‘instant n ‘est qu ‘une curiosité attirant des foules à l ‘occasion de « meetings » locaux.
Voici le tramway dans les rues, le gaz « à tous les étages », l ‘électricité qui entre dans les maisons, les trains qui s ‘arrêtent dans nombre de villes et de villages et s ‘imposent comme mode de déplacement indispensable.

Présentation de l ‘auteur :
Régis GRANIER, a publié de nombreux livres, dont « Le Gers autrefois  » et « Le Tarn-et-Garonne autrefois « , tous deux aux Editions Horvath.

CABANES EN PIERRE SECHE DE FRANCE

Qu’elles aient été cabanes de berger, de vigneron, ou de défricheur… les questions que leurs admirateurs se posent au sujet de ces « anti-maisons, sans toiture, ni fenêtre ni enduit » sont loin de toutes avoir trouvé une réponse.
Heureusement, ces constructions si méticuleusement appareillées, le plus souvent cachées sous les ronces ou se fondant au sein du paysage rural, n’ont pas fait naître que de simples curieux. Elles ont aussi enfanté des passionnés.
C’est le cas de Christian Lassure, qui en a fait son objet de recherche et qui s’attache scientifiquement depuis près de trente ans, à l’échelle de la France, à mener des études comparatives dont il dévoile ici tous les secrets pour le lecteur. Ainsi, l’ouvrage fait la lumière sur la présence de cabanes en pierre sèche dans quarante-neuf départements français.
C’est aussi le cas de Dominique Repérant dont l’un des grands bonheurs est de les traquer – comprenez de les dénicher, d’en découvrir de nouvelles, méconnues de tous, et de les photographier artistiquement après les avoir libérées de leur manteau de ronces…
Une façon fort agréable de revisiter la grande entreprise de conquête agricole que connut la France aux xviiie et xixe siècles, magnifiquement servie par les qualités de prises de vue exceptionnelles de Dominique Repérant.

ARCHIVES DE LA FAMILLE DE REYNIES

Table des matières
Avant propos
Inventaire des archives du château de Reyniès
Famille de la Tour de Reyniès
Famille de Seguin de Reyniès
Bien et droits : Reyniès – Moulis – La Mothe Saillens – Corbarieu – Nohic, Orgueil, Montauban – Villemur – Saint-Nauphary
Biens et droits en Gévaudan
Famille de Laporte de Larnagol
Biens et droits en Quercy : Larnagol, Les Vignes
Famille de Gondrecourt
Famille de Villers
Leclerc de Fourolles
Bonneville
Deschamps
Collet de Vermanton
Cuisinier

Index alphabétique
Annexes

Généalogies : de La tour, Seguin de Reyniès, Laporte de Larnagol, Lantron de Saint-Hubert, Gondrecourt, Courtois de la Motte, Sauzin, de Villers, Boudin de Roville

Lettres d ‘Étienne Seguin de Marvejols

LES CROIX DE NOS CHEMINS ET DE NOS VILLAGES

Ces petits monuments qui sont le témoignage de la foi de nos ancêtres, devant lesquels on ne passait jamais sans se signer, profilent encore dans le paysage leur silhouette rassurante. Après avoir fait partie intégrante du cadre de la vie rurale, les croix sont aujourd ‘hui tombées dans l ‘oubli le plus complet. Elles sont si discrètes, si humbles, que plus personne ne s ‘arrête pour les regarder.

Autrefois, la présence d ‘une croix sur un chemin rassurait le voyageur. Pour lui, elle avait le pouvoir de conjurer le mauvais sort, principalement à un carrefour.

Malgré leur modestie, nos croix constituent d ‘intéressants vestiges d ‘un art populaire disparu que nous devons préserver car elles restent le reflet fidèle de notre histoire locale, qu ‘elle soit civile ou religieuse. C ‘est toute l ‘âme d ‘une communauté qui s ‘exprime à travers elles.

Beaucoup sont dans un état de délabrement avancé. Après avoir subi les outrages du temps et l ‘indifférence des hommes, elles sont aujourd ‘hui les victimes d ‘engins mécaniques puissants. Les transformations accélérées de la voirie et du paysage font peser de lourdes menaces sur les vestiges du passé, notamment sur les croix de chemin, c ‘est pourquoi il est urgent de les recenser, car l ‘homme de demain, pris dans la spirale de la vie moderne « risque de ne savoir plus regarder, ne plus savoir s ‘arrêter pour admirer, marchant dans le monde comme un aveugle « . P. Dalon note que l ‘inventaire, région par région, « apparaît comme un travail urgent et nécessaire. Urgent parce que beaucoup de ces petits monuments sont appelés à disparaître. Nécessaire parce qu ‘il s ‘inscrit dans le cadre plus vaste des traditions et des mentalités populaires, intéressant non seulement les historiens, les archéologues mais aussi les théologiens, les sociologues et les ethnographes.  »

Puisse notre modeste inventaire des croix du canton de Sousceyrac et de ses abords, qui compte quelques monuments pratiquement inconnus, entrer dans ce cadre et compléter le recensement effectué par P. Brillant et J.P Girault.

Le canton de Sousceyrac est une petite région située à l ‘extrême pointe nord est du département du Lot, qui jouxte les départements du Cantal et de la Corrèze. Au cinq communes qui le composent, Calviac, Comiac, Lacam-d ‘Ourcet, Lamativie et Souceyrac, nous avons adjoint quelques communes limitrophes du Cantal (Siran, Saint-Saury), de la Corrèze (Saint-Mathurin Léobazel) et du Lot (Latouille-Lentillac, Sénaillac,Teyssieu), parce que certaines de leurs croix forment avec les nôtres un ensemble indissociable, les unes expliquant les autres.

QUERCY ROMAN

Moissac, Duravel, Marcilhac, Cahors, Carennac, Souillac, tympan de Beaulieu,…

ESSAI D ‘UN ARMORIAL QUERCYNOIS

Cet essai présente simplement un  » armorial  » à ceux qui aiment l ‘étude du passé. Il puise à toutes les sources disponibles concernant tant le Quercy que les provinces voisines, et donne une grande importance aux seules armoiries. Pour rompre la sécheresse d ‘un pur armorial, il indique chaque fois que cela est possible, les seigneuries possédées par les familles citées.

Réimpression de l ‘édition de Paris-Cahors, 1907-1908. Planches.

LA CUISINE DU LOT : mes recettes aux noix

Ce livre de recettes contient mille et une recettes de plats cuisinés avec des noix.

LA RENARDE

Ce recueil, paru en 1996, rassemble les poèmes nés chez l ‘auteur de sa rencontre et de sa longue intimité avec la causse quercynois. Cet ouvrage est le premier traduit et publié en France.
Né à New York en 1917, William Merwin a vécu en Espagne, en Angleterre, en France, au Mexique, à Hawaï et à New York. Il a traduit Pablo Neruda, Jean Follain, Ossip Mandelstam et Le Purgatoire de Dante. Parmi ses proses, The Mays of Ventadorn (  » Les églantiers de Ventadour « ) est comme le  » mémoire d ‘apprentissage  » du poète, conduit par sa rencontre avec Ezra Pound à retourner aux sources de la lyrique occitane. Son œuvre poétique représente une vingtaine de titres.
William Merwin a été distingué par de nombreuses fondations et institutions. Sous le titre Many Mountains Moving (2001) , vingt-cinq poètes américains se sont réunis pour lui rendre hommage à celui en qui Mark Irwin voit  » une sorte de Virgile contemporain  » et que David St. John appelle  » The Last Troubadour « .

LE SAUT DE LA MOUNINE

Emma et son ami Thomas sont en vacances dans le Quercy. Un conducteur agressif, une petite fille giflée, des pleurs d ‘enfant un soir de spectacle « son et lumière » : peu de choses suffisent à enflammer leur imagination. L ‘enfant disparaît et, tandis que la police enquête, ils échafaudent un scénario dramatique, fouinant dans tout le pays, imaginant le pire… Plusieurs fausses pistes et un émoi sans objet, pourquoi pas ? Mais le récit a du mal à trouver son rythme, demeure confus, dilué dans les raffinements d ‘écritures. Pourtant ce petit policier s ‘appuie sur l ‘atmosphère d ‘une région largement évoquée, le Quercy, et sur ses légendes.

MAITRISE D ‘ENFANTS

La maîtrise d’enfants de Brive a été fondée en 2000 à l’initiative de Mgr Patrick Le Gal, évêque de Tulle, et de François David, directeur de l’école Notre-Dame Jeanne d’Arc. Son objectif affiché consiste à tisser des liens étroits entre spiritualité, scolarité et musique. En quatre ans, cette maîtrise s’est approprié un répertoire original et varié, puisé dans la tradition vocale européenne, du Moyen Age à nos jours, qu’elle soit sacrée ou profane. La formation s’est produite en concert ou en animation liturgique dans plusieurs sites prestigieux du Quercy et notamment au sein de la Basilique Saint-Sauveur de Rocamadour. Et aujourd’hui ces chants dont disponibles sur cd.

Notre-Dame, Jeanne d ‘Arc, Bossuet de Brive.Sur des musiques de Berlioz, Fauré, Franck Palestrina, Pessard, Saint-Saëns.

Direction artistique : Christophe des Longchamps et Jean-Marie Fitcher. Technique vocale : Deryck Webb.

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