Une famille de bourgeoisie rurale en Quercy par Jean LARTIGAUT, Président de la Société des Études du Lot, Docteur en histoire de l’Université Toulouse-Mirail. Publié dans : Moi-Géné n° 15 (Septembre 1995)

 

Armes : “De … à trois glands de … art chef de gueules chargé de trois étoiles (le …” (d’après des plats d’étain).
Dessin de Jacques Poulet (1)

Bourgeoisie terrienne, générations d’avocats, ils semblent avoir été les régisseurs, les conseillers, parfois même les banquiers des hobereau d’alentours: Vidal de Lapize, Carry d’Aymare, …

Un officier, Guillaume, dut entrer de plein pied dans les manoirs où se retirèrent ses camarades de régiment. Il maria son fils à une demoiselle de Cahors.

Un autre fils est officier, mais de quatre ou cinq justices seigneuriales. C’est le “filon” depuis des siècles pour s’anoblir. On commence par les charges les plus modestes en attendant le Présidial et les cours souveraines.

Marc Bloch affirme même que les illustres Saulx Tavannes descendaient d’un officier seigneurial affranchi en 1284.

Disons que dans la montée sociale, les Glandin ont un siècle de retard sur leurs seigneurs, les Vidal de Lapize. Il portent blason et vont le timbrer. Mais non, trop tard, voici la Révolution avec laquelle ils flirteront un peu, pas trop, car ils restent très habiles.

1. Jehan GLANDIN, originaire de Saint-Chély-d’Aubrac, en Rouergue, bachelier es droit, il remplissait les fonctions de maître d’hôtel du comte de Clermont lorsqu’il fut marié en avril 1612 sans doute par son maître – les articles de mariage ont été arrêtés au château de Clermont – à Cécile de Laurenson, habitant Chanterac en Périgord qui lui apporta une dot honorable de 1200 livres (2).

Le 22 novembre 1622, au château de Saint-Projet, Maître Jehan Glandin reconnaît tenir en fief de noble, haut et puissant seigneur messire Antoine de Clermont, baron de Saint-Projet, Verteillac, Saint-Gily, Dégagnac, Concorès . … le domaine de Bourret et ses dépendances.

En présence de François Roudoulac et Simon Fayet, prêtres du Vigan (Borne notaire) (3).
Jehan Glandin avait épousé en secondes noces Françoise de Belly.

Du premier lit. il cul titi fils, Guillaume. mort jeune, et du second un autre Guillaume qui suit.

Il. Guillaume GLANDIN, bourgeois de Saint-Projet.

Ses pactes de mariage avec demoiselle Françoise de La Ribeyrie fille d’Ambroise, Maître apothicaire de Gourdon, et de demoiselle Perrette de Danglars, furent conclus le 6 novembre 1657.

Le futur agissait avec le consentement de sa mère et de son oncle François de Belly, écuyer de Gourdon. La dot était de 1 600 livres (4).

Le 14 octobre 1671, à Gourdon, il achète à Pierre Pabot (5), marchand de Rocamadour, le domaine de Lafage, sis dans cette dernière paroisse, consistant en maison, granges, étables, que le vendeur avait acquis de noble Jacques de Vassal.

La taille est due au roi, une rente y est levée par le chapitre de Rocamadour. Le prix fut arrêté à 3.642 livres 10 sols.

Françoise de Belly, mère de Guillaume, s’était remariée à Pierre Pabot qui est dit dans l’acte possesseur du logis de la Carette, auparavant aux Lagrange, seigneurs de La Vercantière.

Présents : Maître Jean Fouquet avocat, Maître Pierre Pabot, greffier, fils d’autre Pierre, Maître Antoine Laribeyrie, docteur en médecine de Gourdon. Devant Delataste, notaire (6).

Le 24 décembre 1697, conjointement avec son beau frère Maître Laribeyrie. Guillaume Glandin fait une reconnaissance de rentes en faveur de Jean de Belly, conseiller au siège de Gourdon (7).

III. Ambroise GLANDIN, se dit fils de Guillaume et petit fils de Jean Glandin, bachelier, dans une requête adressée le 27 novembre 1705 à Messieurs de l’Election de Cahors.

Le suppliant se déclare surchargé par la taille et assigne les consuls de Saint-Projet (8).

Quelques actes jalonnent ce procès, qui malgré un arbitrage du comte de Boissières en 1706 se prolongera jusqu’en 1719.

Ambroise Glandin est probablement père de

1- Guillaume GLANDIN, qui continue la descendance,

2- Pierre GLANDIN de Fonnaute, qui reçoit par testament de noble François de Camy, seigneur d’Aymare en raison de ses bons services, la somme de 500 livres et tout le bois de chauffage pour lui et ses descendants (9).

Le 13 mars 1737, au château d’Aymare, paroisse du Vigan, il achète à Anne de Toulon, veuve de François de Camy, seigneur de Bonnecoste, Aymare, … le domaine de la Melve paroisse de Prouilhac avec les rentes y attenantes et le Moulin Bas pour 1 800 livres seulement “à cause des grands services rendus par le sr de Fonnaute” (10).

Les Camy possédaient ce fief depuis 1448.

Le 12 août 1740, à Nozac, Pierre Glandin, habitant de Saint-Projet, achète le moulin de Lestrau paroisse du Vigan, et ses dépendances, avec rentes nobles à dame Isabeau des Lax, veuve de messire François des Lax, sgr du Bousquet et de Pern, agissant en qualité d’héritière de noble François de Beaumont, sgr de Lacombe, ouvrier du chapitre N. D. du Vigan.

Le prix fut de 3 000 livres. Témoins : noble Jehan de Puniet, sieur de Laborderie, habitant le château de Gayrac et Antoine Estournel prêtre, chapelain de Nozac. (Borne notaire) (11).

Pierre Glandin meurt le 4 mai 1746.

3- Pierrette GLANDIN, associée à ses frères dans un certain nombre d’actes.
IV. Guillaume GLANDIN, lieutenant d’infanterie au régiment de Laigle (12), épouse à une date que nous ignorons Marie Anne de Cassanhes, fille d’un avocat de Payrac.

Le 31 mars 1762, au bureau des francs-fiefs, il règle les taxes pour les biens nobles hérités de son frère Pierre.

De son mariage avec Marie Anne de Cassanhes, il eut :

1- Pierre GLANDIN de Fonnaute qui suit,

2- Jean GLANDIN de Lafage né le 15 juin 1728 et baptisé le 17, eut pour parrain Maître Jean Delcamp, de Gourdon et pour marraine Petronilhe de Glandin (11).

Il s’installa à Labastide- Fortanière (Labastide-Murat) à la suite de son mariage avec dlle Marguerite de Caors, fille de feu noble Jean de Caors et de Jeanne de Corberan, le 19 novembre 1776 (13).

Le contrat de mariage avait été conclu la veille.

Le jeune ménage qui dispose de biens familiaux à Labastide s’engage à assurer l’entretien de Jeanne de Corberan.

Dans l’immédiat, le futur affecte 600 livres à d’urgentes réparations à la maison principale de Labastide et envisage de mettre prochainement 3 300 livres dans les biens de sa femme.

Celle-ci avait été assistée par sa mère et par son frère noble Jacques de Caors chevalier de SaintLouis, lieutenant de grenadiers au Régiment du maréchal de Turenne (sic), habitant le château de Péchaut dans la paroisse du Bastit (14). J’ajoute que cette fille noble d’une branche cadette appauvrie ne savait pas signer.

De ce mariage :

a) Jean Pierre Melchior GLANDIN, né à Labastide le 12 août 1777. Il fut notaire à Ginouillac (Lot),

b) Anne GLANDIN, née le 24 mai 1779, mariée le 15 brumaire an 9 à Louis Durieu, médecin au Bastit,

c) Marthe Angélique GLANDIN, née le 21 avril 1782.
Jean Glandin de Lafage avait quitté ce monde le 2 mai 1787 à la veille d’évènements redoutables. En 1793 les enfants eurent pour tuteurs leurs oncle Pierre Glandin aîné et le “citoyen Caors”. Le 12 vendémiaire an III eut lieu à Saint-Projet un règlement de famille à la suite de la vente d’une maison provenant de la succession de Pierrette Glandin. Nous y voyons Pierre Glandin aîné “homme de lettres”, Anne Pebeyre sa belle-soeur et les 3 enfants de Glandin Lafage assistés du citoyen Caors (15).

Pierre Glandin aîné termine un procès pendant depuis plus de 50 ans entre la famille de Caors et les Vidieu, bourgeois de Courtis. Le 1er prairial an VIII Jean Pierre Melchior Glandin habitant Labastide faisant pour lui et pour ses soeurs Anne et Angélique habitant le château de Péchaud fait une quittance générale en faveur de son oncle Pierre Glandin, du Vigan (16).

3- Pierre GLANDIN de La Melve, né le 16 février 1731 eut pour parrain Pierre-Louis Glandin et pour marraine Louise de Cassanhes épouse de M. Lacombe, médecin.

Le diplôme de licencié en droit lui fut accordé in Cadurcensi Academia, par Antoine Raimond de Fouilhac (17).

Le 23 avril 1770, il reçoit des lettres de provision pour la justice du Vigan, lettres concédées par Jean Joseph Dominique de Cheylus “par la grâce de Dieu et du Saint siège apostolique, évêque, baron et comte de Cahors”, signées Bécave, vicaire général. Par M. le Vicaire général, Calmette, secrétaire (18).

Le 28 avril suivant, au Vigan, les dignitaires et chanoines assemblés dans la chapelle sainte Catherine, selon l’usage

MM. Peyrusse, doyen; de Boissy, chantre; de Maynard, ouvrier; d’Anroi, Dissac, de Lastic, de Colomb, de Larochelambert, prêtres et chanoines, établissent Maître Pierre Glandin, avocat en parlement du lieu de Saint-Projet, juge de la justice du Vigan et dépendances et du fief de la Séguinie (19).

Pierre Glandin reçoit encore le fer juillet 1770 des lettres de provision de dame Magdeleine Thérèse de Saint-Hubert, comtesse de Corneilhan, habitant Villefranche, l’instituant juge de la seigneurie de Masclat (20).

Une ordonnance donnée à Gourdon le 15 février 1771 par Antoine Hébray, conseiller du roi, lieutenant général en la sénéchaussée de Gourdon, reçoit le sieur Glandin en l’état et l’office de juge ordinaire des lieux de Laval, Saint-Projet, Le Vigan et Masclat suivant les lettres de provision des fer janvier 1756, 23 avril et fer juillet 1770, signées Lapannonie, Saint-Hubert Corneilhan, Becave vic. géné. et de plusieurs chanoines (21).

D’après un procès des Glandin du Vigan contre ceux de Perrigal, Pierre avait acheté le 10 juin 1782 à messire Marc Antoine de Lagrange Gourdon, sgr de Floirac, La Vercantière, … le château de Perrigal et le fief de Maillol pour 79 000 livres.

Le 21 septembre 1787 il reçoit à cens et à pagésie perpétuelle le domaine de Bosdillard, à SaintProjet, de messire Antoine de Lapize sgr de Lapannonie, Saint-Projet, Gigouzac, Le Bastit, … (22).

Pierre Glandin avait épousé en 1778 Anne Pebeyre (1757-18-42). Il meurt en 1792 ab intestat.

II avait eu de ce mariage :

a) Pierre Louis né en 1780, quitte Perrigal en 1807. Conseiller auditeur à la Cour d’appel d’Agen. Se marie en 1811.

A cette date habite Gourdon, est nommé président honoraire du Tribunal civil de cette ville. Chevalier de la Légion d’honneur. Entre autres enfants

Firmin, juge d’instruction au tribunal de Gourdon.

b) Jean Baptiste né en 1782, juge de paix du canton de Saint-Germain, mort sans avoir été marié en 1857.

c) Antoine réside sa vie durant au château de Perrigal, il institue héritier Firmin Glandin son neveu et meurt le 14 avril 1837.

d) Marie épouse en 1807 son cousin Guillaume Glandin, du Vigan (voir VI).

e) Jeanne morte sans postérité le 7 juillet 1806.
4- Pierre Louis GLANDIN est mentionné dans le contrat de mariage de son frère aîné en 1773.

II est témoin le 3 février 1775 au contrat d’afferme de la métairie de Bosdillard par Jacques Rigal Caulet, écuyer, seigneur de Beaussac, Mons, seigneur usufruitier de la terre de Saint-Projet, conseiller secrétaire du Roi, Maison, Couronne de France.

Pierre Louis était encore en vie le 1er février 1790.
V. Pierre GLANDIN, avocat en parlement s’allie à demoiselle Catherine Valet, du Vigan, fille de feu Pierre Valet, juge ordinaire de St-Projet et de feue Anne d’Hugon.

Le contrat de mariage du 27 octobre 1773 précise que Guillaume Glandin son père, ancien officier, lui cède tous ses biens, à charge de remettre à ses frères cadets, Jean, Pierre Louis et autre Pierre leur part de légitime soit 3 500 livres à chacun.

L’acte fut passé en présence de messire Antoine Vidal Lapize de Lapannonie seigneur de St-Projet, de Jacques Rigal Caulet seigneur de Beaussac, Mons … et retenu par Delbreil notaire (23).

La future, absente, avait été représentée par messire Joseph d’Aymerique, ancien capitaine et chevalier de St Louis, habitant du Vigan, d’après une procuration établie la veille en présence de messire Armand de Carry d’Aymare et Jean Villars praticien du Vigan.

L’extrait baptitaire du marié nous indique qu’il naquit le 4 mai 1725, fut baptisé le 6, eut pont parrain son grand père Maître Pierre Cassanhes, avocat de Payrac, et pour marraine demoiselle Toinette de Farginel (24). Nous avons eu l’occasion de signaler le rôle de Pierre Glandin en faveur de ses neveux Lafage, pendant la Révolution. Il ne peut cependant traverser cette période sans inconvénients si l’on en juge par une pétition qu’il fit, probablement en 1795 au citoyen Paganel, représentant du Peuple.

Requête assez plate dans laquelle il se déclare âgé de 70 ans et détenu dans les prisons de Gourdon, il se dit acquéreur de biens nationaux (lesquels ?), ancien procureur de la commune de Mont-Libre (SaintProjet), député pour accepter l’acte constitutionnel, non noble, “non possesseur d’objet féodaux” (faux), au contraire il en était surchargé, “non parent d’émigré”. “Il devait se flatter d’une révolution qui lui a tant fait gagner et à laquelle il a contribué de tout son pouvoir”. “Enlevé de sa maison le 20 septembre, mis aux fers durant 9 jours, a été pressuré de la façon la plus barbare. On a pris dans sa maison 2100 livres, douze couverts en argent, un fusil et un couteau de chasse, plusieurs meubles, un “quatruble” d’or et du linge”. Il demande sa libération (25). Nous ne lui connaissons qu’un fils, Guillaume.

VI – Guillaume GLANDIN, maire du Vigan, né le 3 juin 1779, il eut pour parrain Guillaume Thiers, bourgeois du Vigan, et pour marraine Marie de Caors, de Labastide (26).

Il épouse en 1807 Marie Glandin sa cousine du château de Perrigal.

Il est héritier universel de son cousin Pierre Thiers aux termes du testament du 24 août 1814 (26).

Pierre Thiers était fils de Guillaume Thiers et de Marguerite de Valet, soeur de Catherine, mère de Guillaume Glandin.

Le 22 juillet 1827, il bénéficie d’une donation entre vifs de la part de Pierre Hugon, dernier, représentant d’une vieille famille bourgeoise du Vigan (devant Rey notaire).

Guillaume Glandin achète le 22 juillet 1842 à M. Ludovic de Chaunac, licencié en droit, habitant le château de Monbette paroisse de Cénac en Périgord, procureur de son père Louis de Chaunac, chevalier de St Louis, l’entier domaine de la Borie Grande au Vigan.

Il meurt le 17 mars 1848.

Nous lui connaissons 2 enfants

1- N. GLANDIN dit Glandinou, étudiant voltairien mort jeune.
On raconte que le curé du Vigan préféra s’enfuir plutôt que de présider à ses obsèques.

2- Anne-Marie GLANDIN, qui suit.
VII. Anne-Marie GLANDIN, née au Vigan le 11 juillet 1808, épouse le 18 septembre 1843 Jean Louis Amédée Fontanilhes, âgé de 32 ans, propriétaire et maire de St-Médard-de-Presque, fils d’Antoine Louis et de Marie Julienne de Lavaur. Le contrat fut passé en présence d’Adolphe Calvet, procureur du roi à Marmande, Antoine Rochy, propriétaire à Claviers commune de Lissac, Baptiste Pebeyre, sous-préfet de Gourdon, Pierre Glandin, président du Tribunal de Gourdon (devant Rey et Soularie notaires de Gourdon et Mezon notaire du Vigan) (27).

Anne Marie meurt au Vigan le 13 mai 1886.

Rédigé en novembre 1956, revu et complété en mai 1995 Les cotes débutant par L (liasse), se réfèrent à la 2ème partie des archives du château du Vigan.

Liste des patronymes alliés par ordre d’apparition: LAURENSON, BELLY, LA RIBEYRIE, DANGLARS, PABOT, CASSANHES, LAFAGE, CAORS, CORBERAN, DURIEUX, PEBEYRE, VALET, HUGON, THIERS, FONTANILHES, LAVAUR. Sur les origines rouergates de cette famille Colonel Glandy; Généalogie des Glandy de St-Geniès- d’Olt, Bordeaux, vers 1990.
Avril 1998 : Complément à la généalogie GLANDIN de Saint projet (Lot)  : C’est Mme la colonel Anne Glandy née de Roux qui a établi vers 1960 la généalogie des GLANDY de Saint-Geniès d’Olt (Aveyron) du 16 au 20ème siècle, 50 p. dactylographiées, consultable au siège du G.G.C. à Cahors grâce à Mme Kermadec-Glandy. Les GLANDY/GLANDIN établis à Saint-Projet venaient eux de la paroisse voisine de Saint-Chély-d’Aubrac (également dans l’Aveyron); leur généalogie serait la bienvenue pour faire la jonction …

NOTES

(1) NDLR : armes inédites; ne figurent ni sur D’Hozier (publié par L. Izarnv-Gargas, Association héraldique de France, Versailles 1992), ni dans L. Esquieu (Essai d’un armorial quercinois, Cahors 1905). Origine du patronyme : Glandy est un diminutif connu du prénom Claude qui a mal tourné. Les premiers Glandin du Quercy se disent Glandy. (Jean Lartigaut). M. T. Morlet (Dictionnaire des noms de familles, 1992), donne Gladin comme dérivé de la forme latine Glaudius ainsi que Glaude, Glaudon et Glaudic, variantes de Claude, Claudel.
(2) Archives du château de la Pannonie, Couzou (Lot).
(3) Grand parchemin, L 6 numéro 1.
(4) B. M. Cahors, Greil numéro 267, fol. 127.
(5) Ancienne famille de notaires et de clercs de Rocamadour à la fin du Moyen Aga. Albe: Titres et documents sur le Quercy et le Limousin. Possessions d’Obasine; Brive 1911, p. 182.
(6)  L 32 numéro 1.
(7) L 6 numéro 7.
(8) L 18 numéro 3.
(9) L 10 numéro 2.
(10) L 6 numéro 6.
(11): L 6 numéro 5.
(12) A.D. Lot, registres paroissiaux de St-Projet.
(13) AD. Lot, 4 E 197 (registres paroissiaux de Labastide).
(14) ibid. 3 E 748/7 numéro 126.
(15) L 3 numéro 7.
(16) L 9 numéro 3.
(17) L 2 numéro 3.
(18) L 10 numéro 8.
(19) L 2 numéro 2.
(20) L 6 numéro 8.
(21) L 2 numéro 9.
(22) L 7 numéro 1.
(23) L 6 numéro 2.
(24) Registres paroissiaux de Saint-Projet.
(25) L 18 numéro 10. Nous en savons tout de mérite un peu plus long. Le 16 novembre 1793, le citoyen Pierre Francoual, commissaire de la Société républicaine et montagnarde de Gourdon, rédige son rapport : “… Me promenant dans le bourg de St-Projet, j’ay apercu sur la porte de l’écurie du citoyen Glandin un blazon avec-une couronne, dessuite j’ay requis la municipalité de me mener dans la maison du propriétaire pour voir sil y avoit d’autres marques de féodalité dont j’ai trouvé un lit tout parsemé de fleurs de lis …” (A. D. Lot, L 377).
(26) L 3 numéro 6.
(27) L 9 numéro 7.