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A TRAVERS LES RUES DE CAHORS (Tome I et II)

Après une première partie consacrée à la voirie de Cahors, Jean de Boisjoslin présente les monuments de la ville : écoles, collèges, lycées, églises, chapelles, couvents, ponts, hôpitaux, léproseries, cimetières … Les crues du Lot sont également répertoriées.

Une troisième partie donne la liste des consuls et maires de Cahors de 1695 à 1938 et celles des évêques depuis le II` siècle.

Des notices détaillées sur chaque monument nous en content la construction et les anecdotes s ‘y rapportant.

Avec ce livre, en deux tomes, les habitants curieux de l ‘histoire de leur ville disposent du répertoire le plus complet et le plus pratique.

LES CHEMINS DU SAVOIR EN QUERCY ET ROUERGUE à l ‘époque moderne.

L’ouvrage commence par une présentation, à la fois historique et géographique du Quercy et du Rouergue. La première partie décrit les progrès de l’enseignement dans les villes, à partir du XVIème siècle, avec la multiplication d’écoles et la constitution des collèges ou des séminaires. Dès ce moment-là, les petites écoles se répandent dans les campagnes. Même si cela ne fait pas l ‘unanimité, une inconstestable volonté des parents de faire instruire leurs enfants peut se constater dans les communautés rurales. De longs développements sont consacrés à l’étude de l’alphabétisation. Ils démontrent une réelle progression de celle-ci, au cours du XVIIIème siècle. Ils révèlent, en particulier, combien sont exagérés les jugements portés par l’historiographie traditionnelle sur l’analphabétisme des Quercinois et des Rouergats.
Les chapitres III et IV de la deuxième partie contiennent sans doute les apports les plus originaux de ce travail de recherches, en particulier, le chapitre intitulé : « Freins et retards de l’alphabétisation populaire « .
Il permet de comprendre pourquoi la route a été aussi longue sur les chemins du savoir…
En dépit de ces handicaps, on peut considérer qu ‘en moyenne un homme sur trois est alphabétisé. Ce niveau de culture qui n’atteint, certes pas, celui des populations situées au nord de la Loire, contribue à la francisation et au bilinguisme des populations. Ce bilinguisme semble concerner ceux qui savent écrire, et il encourage les notables locaux, auxquels appartiennent, désormais, les paysans aisés, à se faire les porte-parole d’une culture écrite auprès des gens du peuple. Capables de lire et d’écrire, ils jouent certainement les intermédiaires entre la culture du peuple et celle des élites et ils contribuent à diffuser à la veille de la Révolution, les nouvelles façons de penser et de croire à des changements nécessaires.

LES JEUX DE QUILLES ET LE JEU DE PIQUET DANS LE LOT. Pratiques contemporaines. Inventaire analytique

LE VIEUX QUERCY

Le Chanoine Sol, archiviste du diocèse de Cahors, a été un travailleur infatigable, qui a renouvelé l ‘histoire de sa petite patrie. On verra à la fin des volumes, l ‘imposante bibliographie de ses oeuvres. II ne se pique pas de littérature, il a voulu faire oeuvre d ‘historien : aussi, certaines lourdeurs de style n ‘enlèvent rien à la valeur de son travail. Ce travail, un peu touffu parfois, fourmille de détails intéressants : nous voyons vivre nos anciens dans leurs travaux agricoles, leurs récoltes péniblement engrangées; nous participons à leurs joies et à leurs douleurs; nous entendons jurons sonores et proverbes populaires, et c ‘est pour nous un vrai plaisir de communier ainsi à cette humble histoire, laissée en héritage par les aïeux.
Les dessins de Bertheline Monteil, qui témoignent d ‘un réel talent, viennent illustrer avec bonheur les chapitres de l ‘ouvrage, et permettent d ‘évoquer costumes, coutumes, cadre de vie, scènes de village.
Chanoine Eugène SOL. Maison des Oeuvres, Cahors. Tome I : Usages anciens, Format : 16,5 x 25,5, 280 pages. Tome II : Traditions et coutumes, Format : 16,5 x 25,5, 252 pages.

LE VIEUX MONTAUBAN

Six promenades à travers les rues de la vieille ville : tel est le moyen choisi par l ‘auteur pour décrire l ‘architecture et raconter l ‘histoire de 150 hôtels particuliers, monuments et édifices de Montauban. Le parcours de ces itinéraires dans les rues de la ville permet aux visiteurs « d ‘y respirer le parfum du passé « . Il offre aussi aux connaisseurs et aux amateurs de l ‘histoire régionale une véritable mine d ‘informations et une précieuse référence sur le patrimoine de cette grande et belle ville du Sud-Ouest de la France, fondée en 1114 par Alphonse Jourdain, comte de Toulouse. D ‘une plume pittoresque, alerte, empreinte d ‘un certain charme propre à sa génération, l ‘auteur nous invite à une excursion vivante au coeur du « Vieux Montauban « .

UN AUTRE MONDE

Letto, petit immigré italien, imprégné «d ‘anarchie pacifiste», découvre son nouveau pays la France. Confronté à ses contradictions, aux injustices de la vie, attiré par sa passion pour l ‘aviation, tiraillé entre amitiés, amours et «idéologies» ; il se ressource dans la campagne quercinoise et l ‘aventure humanitaire.
La première caractéristique de l ‘Auberge du Dragon : «ça gueule fort !». Un brouhaha continuel accompagné par les gestes amples des participants. Quant aux idées échangées, elles suivent les inspirations de l ‘un ou l ‘autre. Elles fluctuent en fonction du nombre de verres de vin descendus. Bien que les interrogations paraissent bizarres, elles suscitent des controverses acharnées. La vie est-elle un événement fondamental ? A-t-elle un sens, ou est-elle un fait dérisoire ? En observant l ‘histoire des hommes il est légitime de se poser la question, avec beaucoup d ‘autres encore. (…)

DE LA VOIE ROMAINE A L ‘AUTOROUTE, deux millénaires d ‘histoire routière

(…) Cette présentation du réseau routier de notre département ne doit pas nous faire perdre de vue que le Quercy s ‘étendait sur une partie du Tarn-et-Garonne jusqu ‘à Moissac et même au-delà de Montauban jusqu ‘au toulousain. On peut la considérer comme une esqisse sur la « longue durée « , expression savante qui fait sourire R. Fossier. Les trois derniers siècles ont malheureusement privilégiés en raison de l ‘importance accordée aux voies de communication et de la richesse de la documentation. (…)
(Jean Lartigaut, BSEL, 2e fasc. 1999, T. XX, avril-juin, p.153).

ROCAMADOUR une cité en équilibre

Rocamadour, célèbre pèlerinage du Môyen Age est une des premières destinations touristiques de Midi-Pyrénées. La beauté du site ne suffit pas à expliquer un tel succès. Comment une commune de 631 habitants acueille un million et demi de visiteurs par an ?
Les plus âgés racontent comment paysans et taverniers sont devenus agriculteurs et hôteliers. Les autres disent comment clergé et autorités civiles mettent en valeur ce patrimoine.
Partons à la rencontre de ceux qui animent ce lieu avec un dynamisme exceptionnel. Comment parviendront‑ils à maintenir l ‘équilibre et l ‘autonomie de leur cité ?
C ‘est la place d ‘une commune rurale qui est en jeu.
Devenons explorateurs d ‘un nouveau type en nous faufilant dans l ‘histoire singulière d ‘une cité médiévale devenue haut lieu culturel, spirituel ou touristique ?

LE LOT VERS 1850 – 1er volume : Contrôle de Cahors

SAINT-CYPRIEN DES-VAUX – Pages d ‘histoire locale

Cette monographie reprends l ‘origine du nom, la vie au village, l ‘histoire des reliques, les sources et les monuments, de ce village du Quercy. Les guerres des Albigeois, de Cent Ans, de Religion y sont évoquées ainsi que la Révolution. La vie religieuse est développée, mais aussi la vie communale et le travail à la terre. En final, quelques familles importantes y sont étudiées.

LA BASTIDE DE VILLEFRANCHE DU PÉRIGORD capitale de la Chataigneraie (1261-1500)

LE PAYS DE CAZALS EN QUERCY des origines à 1800

DICTIONNAIRE DES COMMUNES DU LOT contenant la nomenclature des villages, hameaux, châteaux, moulins,

Édition originale de 1881 donnant pour chaque commune les divisions administratives anciennes et modernes, bureaux de poste et de télégraphe, stations de chemin de fer, superficie, population, altitude, nature des terrains, paroisses, principaux villages et hameaux, cours d ‘eau, voies de communication, distances, nombre d ‘électeurs et de conseillers municipaux, impôts et revenus, statistiques des écoles et des établissements de bienfaisance, produits agricoles, commerces et industries, fêtes locales, foires et marchés, anciennes mesures, curiosités naturelles et archéologiques, faits historiques, hommes célèbres.

LENTILHAC-DU-CAUSSE : Un village du causse de Gramat des origines au XXe siècle

Monographie bien documentée, faisant référence aux meilleures sources disponibles. Modeste village du canton de Lauzès, pourvu de quelques sites archéologiques et fondé sur un ancien domaine gallo-romain, Lentillac a traversé les siècles sans connaître d ‘évènements notables. Le dépeuplement de la commune s ‘est amorcé au milieu du XIXe siècle, comme dans l ‘ensemble du département, passant de 670 habitants en 1846 à 104 en 1990. On trouvera dans cet ouvrage un état des habitants et une liste complète des toponymes à la fin du XVIIIe siècle.
Extrait du Bulletin de la Société des Études du Lot, 1996, 1er fasc., p. 71.)

Monographies des paroisses de la région Vers-Lot-Célé

Quelques unes des célèbres monographies par l ‘un des plus grands historiens du Quercy. On trouvera dans ce volume les monographies consacrées à trente paroisses de la région Vers-Lot-Célé : Berganty, Blars, Bouziès-Haut, Cabrerets, Cajarc, Calvignac, Caniac, Cénevières, Cours et Saint-Michel, Cras, Cregols, Esclauzels, La Bastide-Fortanière (ou -Murat), Larnagol, Lauzès, Lentilhac-du-Causse, Nadilhac, Ornhac, Sabadel (Lauzès), Saint-Cernin du Causse, Saint-Chels, Saint-Cirq-Lapopie, Saint-Géry, Saint-Martin de Vers, Saint-Martin La Bouval, Saint-Sauveur la Vallée, Sauliac, Sénaillac (Lauzès), Tour de Faure, Vers.
Texte intégral. Précédé d ‘une notice biographique du chanoine E. Albe.

  • Edmond Albe, Paulette Aupoix (transcription) et François Petitjean (transcription), Monographies des paroisses de la région Vers-Lot-Célé, Archives diocésaines de Cahors, Éditions Quercy.net, .

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