Auteur/autrice : Gilles Chevriau Page 3 of 30

Le Lot et ses chemins… de fer !

A quelques jours d’intervalle, deux conférences font revivre l’époque dite des petites lignes. La prochaine se tiendra à Douelle le 25 novembre pour évoquer le tronçon Cahors-Libos

Celui évoqué cette semaine entre Cahors et Capdenac, dans le cadre d’une mission pilotée par la Région avec délégation au Département, a le mérite d’un début de restitution sous la forme d’un inventaire – qui reste à compléter – et que l’on pourrait qualifier d’utilité publique.

Les élus ayant validé la dépose de la voie, nos rives du Lot ne seront bientôt que parcourues par des bipèdes et des deux roues….non motorisés.
Si aujourd’hui, débute une autre histoire, la précédente reste à écrire tant qu’il y aura des témoignages !

Amis du patrimoine, à vos carnets et autres supports. Quercy net attend vos contributions à déposer en CLIQUANT CE LIEN

Illustrations (photo Quercy net) : Arcambal : rails en partance pour la fonte en Espagne. Les traverses prendront un autre chemin. 

Le samedi 21 mai 1881, Gambetta, notre enfant de Cahors, signera l’adjudication du 1er lot de chemin de fer Cahors-Capdenac, soit 12 kilomètres depuis Cahors, jusqu’à Mondies (Arcambal), pour la somme de 1 950 000 francs. (sources)

 

Collège Jean-Jacques Faurie : inauguration d’une plaque et d’une exposition Jacques Chapou

À l’occasion de l’inauguration de la plaque « Jacques Chapou », le collège Jean-Jacques Faurie (commune de Montcuq-en-Quercy-blanc) accueillait son arrière-petite-fille, Sarah Chabert, qui représentait Françoise Chapou, fille du professeur résistant. Cette plaque a été restaurée grâce au soutien financier de la municipalité et du département ; également du Souvenir Français

Elèves du collège

Cette inauguration était aussi l’occasion d’accueillir une exposition consacrée à ce héros de la résistance visible jusqu’au 20 novembre (exposition dont M. Hervé Thiébaut, président du comité local du Souvenir Français est la cheville ouvrière.) Sarah Chabert a rappelé l’utilité de « transmettre cette mémoire aux jeunes générations ». Car « il est important de se souvenir que des femmes et des hommes », partageant une conviction commune, refusant l’inacceptable, « ont fait le choix de résister quel qu’en soit le prix ».

Allocution de M. Thiébaut entouré des deux porte drapeau ainsi que de M. Gille, principal du collège

Lors de sa première, prise de parole, M. Hervé Thiébaut a évoqué l’historique du Souvenir Français. association mémorielle, créée en 1872. Le comité de Montcuq, actif depuis 2015, a fait appel à la jeune génération montcuquoise, pour rejoindre le comité, en tant qu’adhérent, ou de remplir la mission emblématique, et honorable de Porte Drapeau. Passeur de mémoire, il a évoqué le travail considérable du Musée de la Résistance, de la Déportation et de la Libération du Lot, de la Maison du Patrimoine, et de Sarah Chabert, dont on peut prendre connaissance de son intervention ci-dessous.

Sarah Chabert

Au nom de ma grand-mère, Françoise Chapou qui aurait dû se trouver à ma place aujourd’hui, et qui serait sans doute très émue d’évoquer ici ses souvenirs devant vous, je tiens d’abord à remercier celles et ceux qui ont participé à la restauration de la plaque, notamment la municipalité de Montcuq, Le Souvenir Français, et bien sûr Hervé Thiébaut qui travaille sans relâche pour faire vivre le souvenir de la Résistance à Montcuq.
Je tiens également à remercier ceux qui ont permis la réalisation de l’exposition Jean-Jacques Chapou, la municipalité de Cahors, les responsables du Musée de la Résistance, de la Déportation et de la Libération, dont Emmanuel Carrère et Jean-Luc Couderc, son secrétaire bénévole, toujours par monts et par vaux ! sans oublier bien sûr, Louise Manciet, la jeune archiviste avec laquelle j’ai eu le plaisir de travailler sur cette exposition.
On peut se poser la question au sujet de cet événement. Pourquoi se souvenir de Jean-Jacques Chapou et transmettre cette mémoire aux jeunes générations ?
Un élément de réponse que l’on peut avancer est que Jean-Jacques Chapou était un homme de rassemblement, porteur d’un immense espoir. Au cours des différentes étapes dans son parcours dans la Résistance, il a su fédérer autour de lui, des hommes et des femmes très différents les uns des autres mais qui partageaient néanmoins une conviction commune :

On ne peut pas accepter l’inacceptable.

Jean-Jacques Chapou a été exemplaire et n’a jamais chercher à échapper à ses responsabilités. Mais, au-delà de Jean-Jacques Chapou, c’est le courage de femmes et d’hommes qui ont résisté à l’oppression, au cynisme et à la lâcheté et à une foule d’individus que nous abhorrons aujourd’hui.
Sans ces femmes et ces hommes, on ne reparleraient pas de Jean-Jacques Chapou. Aussi es-il important de se souvenir que celles et ceux qui ont fait le choix de résister, quel qu’en soit le prix.
A l’heure où nous faisons face aux incertitudes et aux soupçons, leur courage et l’esprit de tolérance qui animait Jean-Jacques Chapou peuvent nous inspirer.

On peut retrouver sur Quercy net plusieurs articles consacrés à Jacques Chapou
ainsi qu’aux faits de résistance dans le Lot

Le château de Castelnau-Bretenoux par Yves Marguin

Le château de Castelnau-Bretenoux, situé dans le département du Lot, est la forteresse médiévale la plus imposante du Quercy. Cet imposant édifice constitue un résumé des arts du Moyen Âge. Le château se dresse à 900 mètres à l’est de Prudhomat. La construction du château s’est déroulée sur plusieurs siècles, du XIIe au XVIIe siècle. Son origine remonte à Hugues de Castelnau qui fait édifier une enceinte autour de son domaine. Il est l’ancêtre d’une lignée familiale très puissante, baronnie inféodée aux comtes de Toulouse et qui prospère dans une région riche en ressources agricoles. Le château, siège de la puissante famille des barons de Castelnau, est un imposant témoignage de l’évolution de l’architecture castrale. Conçu pour résister aux assauts des guerres médiévales, il s’adapte aux progrès de l’artillerie aux XVe et XVIe siècle.

Grands prix pèlerin : L’église Saint-André de Saux récompensée

Le 17 octobre dernier à la cité de l’architecture, le Pèlerin et ses partenaires ont décerné les prix Pèlerin du patrimoine pour sa 33ème édition. Depuis 1990, ces prix financés par des mécènes du patrimoine sont à la pointe pour soutenir les initiatives autour du patrimoine et la transmission des savoir-faire.

Comme chaque année, la Sauvegarde de l’Art Français a remis le prix de la transmission et du partage, doté de 5 000€ pour encourager des travaux sur des édifices religieux. Le jury a choisi de récompenser la commune de Porte-de-Quercy (Lot), pour la restauration de l’église Saint-André de Saux.

Avec son clocher-tour, sa silhouette de forteresse en impose sur la place du village. L’église Saint-André de Saux (Lot) semble solide, capable de résister pour l’éternité. Pourtant, des infiltrations dans sa toiture qui se dégrade sont en train de ruiner tout l’intérieur. Il y a donc urgence à sauver ce bel édifice, reconstruit aux XVe et XVIe siècles autour de son abside romane.

La famille de Gozon, seigneurs du lieu, a ajouté au XVIIe siècle deux chapelles latérales à sa nef aux trois travées inégales. Ils ont aussi commandité une campagne de décors et mobilier de style baroque comprenant une table de communion à balustres en pierre, une chaire à prêcher ainsi que des boiseries. L’église est d’ailleurs inscrite sur la liste des monuments historiques. Le projet de restauration est un défi pour cette commune de 600 habitants qui doit gérer dix églises.

Ce prix lui permettra de boucler la première tranche des travaux, même s’il reste encore beaucoup de travail à l’intérieur pour valoriser l’église, qui n’est ouverte pour l’instant que sur demande, et pour les groupes.

+ d’informations sur la sauvegarde de cette église en CLIQUANT CE LIEN

L’oppidum du Pech d’Estillac : un chantier à venir de l’ACCCM

L’Association Culturelle du Canton de Castelnau-Montratier, créée en 1990, était inactive depuis le coup d’arrêt d’activités donné par l’épisode aigu de COVID19. Interpellée pour être association support de l’oppidum du Pech d’Estillac à Sainte-Alauzie, elle vient de trouver un regain de dynamisme en adhérant à la Fédération départementale des oppida cadurques (FDOC) pour faire connaître et valoriser ce patrimoine de l’âge du fer. En prenant cette décision, le conseil d’administration a répondu, en quelque sorte, au vœu émis par les membres fondateurs qui concluaient ainsi un essai sur cet oppidum : « Un site qui mériterait une étude archéologique plus approfondie avec des méthodes de prospection modernes. » (Bulletin de liaison n° 9 de janvier 1999). C’est en projet en lien avec la FDOC.
Dès la décision de reprise d’activités, un bulletin de liaison était mis en chantier qui a été offert à chaque adhérent, comme au cours des années antérieures. Il vient rejoindre la collection des vingt-et-un magazines qui constituent une ressource d’informations sur l’histoire, la grande et les petites, le patrimoine, ou l’actualité du canton de Castelnau-Montratier dans son périmètre historique.
Lors de l’assemblée générale du 4 novembre dernier, un coup de projecteur a été porté sur les églises des sept communes qui formaient l’ancien canton de Castelnau par un très beau film, recueil de vues dévoilant la beauté et la diversité de ce patrimoine parfois sous des angles jusque-là méconnus. Vingt-trois églises dont dix pour l’ancienne commune de Castelnau-Montratier : une richesse patrimoniale pour le territoire et une charge immobilière pour les communes. Vaste sujet de réflexion ! Un des chantiers à venir pour l’ACCCM.
Pour découvrir l’ACCCM : www.acccm.jimdofree.com

Saint-Cirq-Lapopie vu par Yves Marguin

Classé parmi les Plus beaux villages de France ainsi que Grand Site de Midi Pyrénées, et enfin élu Village préféré des français en 2012, St-Cirq-Lapopie est un village médiéval regorgeant de trésors architecturaux !
Edifié sur une falaise à 100 mètres au-dessus du Lot, Saint-Cirq-Lapopie a conservé tout le charme de son passé médiéval.
Ses ruelles vous plongeront entre le XIIIe et XVIe siècles où les nombreuses maisons aux façades en pierre et aux toits de tuiles plates, à forte pente, s’offriront à vous.
Saint-Cirq-Lapopie mérite pleinement son label des “Plus beaux villages de France”.

Yves MARGUIN

Illustration de l’article : PUJOL Jean-Eugène (1899-1986), Saint-Cirq-Lapopie (vers 1937) dessin gouaché. Couverture de l’ouvrage : FOISSAC Patrice “Saint-Cirq-Lapopie et ses habitants. Des origines à 1560”, ed. édicausse, 2023

La Sauvegarde de l’Art Français : une jeune centenaire

Par le montant de ses aides, la Sauvegarde, créée en 1921,  tient une place de premier rang dans la défense du patrimoine religieux, principalement des églises et des chapelles rurales, menacées d’abandon ou de destructions.
Chaque année, la Fondation attribue en moyenne 1 million et demi d’euros pour la restauration de près d’une centaine d’édifices, répondant ainsi à la demande de leurs propriétaires, essentiellement des communes, mais également des associations ou des particuliers.

3 MISSIONS PRINCIPALES

> Aider à la restauration de notre patrimoine religieux
Pour vous aider :  contactez Alain Jouret (alainjouret@gmail.com), correspondant pour le département du Lot / Pour + d’informations : CLIQUEZ CE LIEN

> Aider à la restauration des oeuvres d’art
Les plus grandes réserves d’oeuvres d’art étant dans nos églises, la Sauvegarde a lancé « le Plus Grand Musée de France, les trésors de nos communes ».
Depuis 2013, la campagne d’un millier de participants a permis de restaurer 140 œuvres d’art en 8 ans et de lever près de 900 000 €.

> Aider au rayonnement du patrimoine
Pour participer à la restauration des églises, devenez Amis de la Sauvegarde avec un don à partir de 10 €.

LA SAUVEGARDE ET LE LOT : Dans le Lot, 32 chantiers de restauration ont été soutenus par la Sauvegarde pour un montant de 221 700 € octroyés entre 1976 et 2021 au bénéfice de 18 églises et chapelles rurales. Pour accéder au site de la fondation : CLIQUEZ CE LIEN

ASMPQ : Visite des moulins de La Comté et de Cougnaguet

A travers ces deux moulins, découverte par les membres de l’Association pour la Sauvegarde des Maisons et Paysages du Quercy, du monde des moulins, plus précisément des moulins à farine.

Les moulins sont le troisième patrimoine de France après les châteaux et le patrimoine religieux. Qu’ils soient à eau, à vent ou à sang, c’est-à-dire à traction animale, qu’ils moulent le grain, battent le fer, les minéraux, le papier ou les fibres végétales, qu’ils écrasent noix, noisettes, lin, etc. tous ont au fil des siècles allégé le travail des hommes et participé au développement économique à divers degrés.
Partout en France ils sont encore nombreux même si leur nombre a considérablement décru depuis le début du 20ème siècle avec l’évolution technologique et, tout récemment, pour ce qui est des moulins à eau, par la volonté du législateur de supprimer les chaussées de moulins sur le principe du rétablissement de la continuité écologique des cours d’eau. Dans le Lot, l’association des moulins du Quercy, Lot et Tarn-et-Garonne, veille sur eux depuis plus de 30 ans.
En ce samedi 23 septembre 2023, ce sont deux moulins remarquables du département du Lot qui ont été proposés à notre visite : le grand moulin à vent de La Comté à Carlucet avec son mécanisme pour deux paires de meules, unique dans le Lot et très peu nombreux ailleurs, et le moulin à eau de Cougnaguet sur l’Ouysse à Calès. Tous deux sont des propriétés privées ; le premier nous sera ouvert exceptionnellement, le second était déjà connu de plusieurs d’entre nous et participe à l’économie touristique du département….Pour lire la suite de cette passionnante visite, CLIQUEZ CE LIEN

 

L’Association pour la Sauvegarde des Maisons et Paysages du Quercy
est partenaire de Quercy net

Journée Marguerite Moreno

Si le lieu “La Source bleue” est associé à jamais à la grande actrice, icône du monde théâtral mais également cinématographique, il manquait à Touzac, sa commune de résidence, un lien “officiel”.

C’est désormais chose faite avec la présentation de cette plaque en présence des élus, de la famille Delande-Moréno, des amis du cinéma et des participants à la 6e journée dédiée à Marguerite avec la conférence donnée par Claire Delannoy, fille du cinéaste.

Ce rendez-vous organisé par Cinéphilot (Patrick Cazals et Bernard Maupou) a permis de visionner un documentaire évoquant les liens entre le réalisateur Jean Delannoy avec les actrices et acteurs qui se sont succédés dans ses 60 films.

La journée a été clôturée avec le premier film réalisé en 1933 par Jean Delannoy “Paris-Deauville”, projeté au cinéma Louis Malle.

Une belle rencontre ponctuée de témoignages émouvants évoqués par  la fille de Jean Delannoy.
A noter qu’un musée lui est consacré dans la ville de Bueil, tenu par sa fille Claire. Il résume sa carrière et toutes ses collaborations autour d’expositions et de scénaries réhabilités.

L’ouvrage  de François Soustre, “Marguerite Moreno la parfaite amie de Colette”, préfacée par  Anny Duperey est édité aux éditions “Mon Limousin”.

Photo : Gilles Chevriau ©, Quercy.net

 

Autoire, on t’aime !

Merci à Yves Marguin pour cette nouvelle découverte d’un des plus beaux villages du Lot  !

Autoire, situé dans le département du Lot, est un charmant village situé dans un cirque naturel où rien ne dénote, ni les habitations ni la nature. Pour preuve, son appartenance au label des « Plus Beaux Villages de France.
Autrefois lieu de villégiature apprécié des notables de Saint-Céré, le village fut surnommé le « Petit Versailles »
Vaut le détour !

Une escapade vers les Ségalas lotois et aveyronnais

En ce 16 octobre, beau dimanche d’automne, c’est une trentaine de membres de la Société des Études du Lot qui ont pris le chemin de l’Aveyron pour une sortie studieuse mais, néanmoins, récréative.

Le premier site visité fut le Musée de la mine Lucien Mazars à Aubin. Sous la conduite d’une guide particulièrement dynamique, ils ont pu avoir, exceptionnellement, accès à ce musée qui, habituellement fermé le dimanche, retrace, en diverses salles et mises en scène la vie de cette cité minière du bassin Aubin/Decazeville. Reconstitution d’un coup de grisou, visionnage de films des années cinquante, photographies et objets émouvants, commentaires judicieux, rien n’a manqué pour éveiller l’intérêt de cette visite.

La pause-déjeuner fut également prise dans l’Aveyron, au restaurant « Le Marronnier » à Saint-Julien de Piganiol, autour d’un repas roboratif et convivial, apprécié de tous les convives.

Le groupe s’est ensuite dirigé, par de petites routes, sinueuses à souhait, vers les terres lotoises du Ségala pour parvenir à Lentillac-Saint-Blaise, où, sous la conduite d’Abdellatif Mourchid, architecte en charge de sa réhabilitation, ils ont pu découvrir le château, édifice surprenant et promis à un bel avenir.

Propriété de M. Jean-Claude Jeanson, le célèbre « Maître pâtigoustier » lensois, qui, ayant découvert le village de Lentillac-Saint-Blaise et le château alors qu’il avait 7 ans et habitait la commune toute proche de Cuzac, chez sa grand-mère, venait souvent y jouer avec ses copains et eut un « coup de cœur » pour le site.

En 2019 il finit par l’acquérir et, depuis, des travaux de déblaiement puis de restauration ont été conduits par des entreprises locales, notamment celle de Fabien Paramelle, maçon/tailleur de pierre à Capdenac-le-Haut, qui a accompagné le groupe pour cette intéressante visite, apportant des précisions sur les techniques propres à sa propre activité.

Nul doute que l’aboutissement de ce projet, tourné vers la réhabilitation de ce lieu magique à destination du public (Café social, médiathèque, espace muséal …), selon le souhait de son propriétaire, sera un atout majeur pour le tissu local. Mais patience car le calendrier annoncé indique un délai de quatre années pour l’achèvement des travaux. A l’invitation de l’architecte, les membres de la Société des Études du Lot ont pris date pour 2025 afin de constater l’avancée des travaux.

Leur périple s’est poursuivi vers l’église de Lunan, toute proche, ouverte à leur attention par Mme Ercoli, maire de la commune. C’est un havre de paix qu’ils ont découvert (ou revu pour certains d’entre eux) permettant ainsi de clore une belle balade.

Texte de Jean-Michel Rivière et photo de Bruno Sabatier que nous remercions !

La Société des Etudes du Lot est partenaire de Quercy net

A paraître : le témoignage du dernier préfet du Lot nommé par le gouvernement de Vichy (mars-août 1944)

Cet ouvrage qui nous permet de vivre les 6 derniers mois qui ont précédés la Libération, est le récit du quotidien de Frédéric Empaytaz qui a dû gérer ses relations avec l’occupant, avec Vichy et avec la Résistance.

Ce texte, le témoignage de la vie d’un homme écrit pour sa famille, est présenté et commenté par son petit-fils Pascal Bouchard, journaliste et écrivain. Il nous en livre les clefs nous permettant de comprendre l’itinéraire d’un homme confronté aux instants les plus tragiques de son histoire, et de la nôtre.

Préface Marc Olivier Baruch, historien et spécialiste de la fonction publique sous le régime de Vichy.

Une iconographie composée à partir de photos et de documents d’époque, choisis au plus près de ce texte, apporte un éclairage sur :Retour ligne automatique
> les services préfectoraux et les représentants des services rattachés, les deux sous-préfets, les élus des principaux villages traversés par le préfet : Figeac, Saint-Céré, Gramat, Souillac, Puy-l’Evêque, Gourdon … mais également les parlementaires, les conseillers départementaux et les figures politiques du moment comme Anatole de Monzie dont le préfet nous fait partager leur long entretien.Retour ligne automatique
> l’occupant, la milice, les forces partisanes sans oublier les libérateurs qui franchiront, le 17 août 1944, l’imposant portail de la préfecture pour prendre les commandes du département.

250 pages couleur, dos carré collé, format 16 x 24 cmRetour ligne automatique
Parution prévue : 1er trimestre 2024Retour ligne automatique
Prix spécial de souscription : 25 € (au lieu de 30 € prix public) valable jusqu’au 25 novembre 2023

Plus d’information sur le site de l’éditeur en cliquant CE LIEN

1943 : qui sont ces membres du personnel de la préfecture ?

Quercy net est parfois sollicité pour mettre un nom sur des visages.
Qui pourra identifier ces sourires devant l’objectif du photographe dans la cour de la préfecture en 1943  ?
Toutes les suggestions et aides sont les bienvenues

Vos réponses et ou suggestions sont à indiquer en cliquant ICI.
Merci d’avance

UPTC : un anniversaire riche en émotions

Le samedi 23 septembre l’UPTC avait convié ses adhérents en mairie pour son assemblée générale annuelle et solennelle, en ce jour où elle fêtait son cinquième anniversaire. En présence de l’adjointe à la culture Françoise Faubert représentant le Maire de Cahors et de Bernard Delpech Vice-Président du Grand Cahors en charge de l’enseignement supérieur, ainsi que des présidents des associations partenaires, le bureau de l’association a présenté un bilan très positif au terme de cinq années d’existence et dévoilé sa future programmation. Pour souffler ses cinq bougies en mode plus convivial une centaine de personnes étaient présentes au restaurant de la Chartreuse et ont apprécié un mini concert avec la musique baroque de La Girandola, les cuivres de Cahors Brass et l’ensemble chanson française et musiques du monde André des artistes.
Une belle journée, riche en émotion.

L’UPTC est partenaire de Quercy net

Le rugby autrefois : les Archives départementales attendent vos témoignages

Si vous conservez des documents (photos, programmes ….), ils sont les bienvenus pour être numérisés et venir enrichir les archives concernant ce sport. L’équipe des archives départementales est également en mesure de vous aider dans la gestion de vos documents et d’objet.
Contact 05 65 53 49 00 ou archives@lot.fr

Illustration : L’aviron cadurcien, stade Lucien Desprat Cahors, 19 janvier 1929. Photo publiée dans l’ouvrage : A la recherche d’un Cahors perdu, 1920-1960, édition édicausse, p. 38.

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