- Concert ouverture de la saison d’été
- Expo du 1er au 17 août
+ d’informations sur le musée en cliquant CE LIEN
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Les foires de Saint-Céré et Gramat à une époque, où tout encore semblait rite ancré dans l’éternité du palpage de croupes bovines ; maquignons, paysans, pour toujours à débattre. Qui aurait pensé que cela cesserait ?
Et ce monde s’en est doucement allé, emportant les foires dans la cage à souvenirs.
église de Saigne / 5 juillet-31 août 14 h 19h
Le 8 juillet, à 21 heures, à la salle voûtée, à côté de l’église de Saint-Martin-Labouval, l’association Latitude, les Amis de Barbara Phillips accueillera André Tulet pour la première conférence de l’été 2024.
André Tulet est un contributeur régulier à L’Université pour tous Cahors Quercy (UPTC) où il a présenté un cycle de conférences sur les pays du Moyen-Orient. Il nous invitera à réviser notre vision sur les jeux dans l’Antiquité. Sont-ils bien les ancêtres des JO modernes ? Ou notre perception repose-t-elle sur un malentendu ? En recréant les JO après la défaite de 1870, Pierre de Coubertin a voulu donner à la jeunesse un idéal de substitution. Il a donc mythifié les jeux antiques et les a décrits comme des concours nobles et chevaleresques. Mais en réalité, qu’en était-il de l’amateurisme? L’esprit sportif? L’éthique? Cette séance devrait contribuer à rétablir une image des jeux antiques moins idéalisée et plus conforme à la réalité historique.
La séance sera suivie d’un pot de l’amitié offert par l’association. Entrée gratuite.
contact@latitudebarbara.net / www.latitudebarbara.net / 0645707516
L’association Latitude Les amis de Barbara Philipps
est partenaire de Quercy net
Balade en drone avec le concours des associations Musicarpège et A.C.C.C.M.
Sur les causses, l’eau, ressource rare, est indispensable à l’homme comme au bétail. Elle donne lieu depuis toujours à des aménagements pour la collecter et la stocker. Olivier Reynal nous propose dans son ouvrage « L’eau à Espédaillac » paru en mai 2024, son travail photographique et le résultat de ses recherches qui viendront enrichir le patrimoine de la commune, l’une des plus vastes et des plus sauvages des causses.
« Il fallait trouver l’eau, parfois avec l’aide d’un sourcier, puis arrivaient le puisatier et le bâtisseur de pierres sèches. L’entreprise était loin d’être anodine. En effet, si la commune d’Espédaillac (sur le causse de Gramat), bénéficie depuis 50 ans d’un réseau d’adduction d’eau potable, elle a dû se contenter autrefois, comme toutes ses voisines du causse, de ses ressources naturelles. Les hommes, au fil de leur histoire, n’avaient pas d’autres choix pour vivre que de scruter en permanence ce que la nature mettait à leur disposition ». Ainsi, est résumée dans l’ouvrage d’Olivier Reynal « L’eau à Espédaillac », la survie de nos ancêtres sur les zones arides de l’Europe occidentale.
Le causse, c’est la chaleur et la sécheresse « Les Causses pour moi, c’est la chaleur torride, le désert, des collines où émergent des hameaux que la soif a vidés » écrit en 1993, la romancière Françoise Sagan (née à Cajarc) dans son ouvrage « Et toute ma sympathie ».
Un pays aux étés chauds et secs sur des terres arides où l’eau manque. C’est l’image même qu’on garde du Quercy : un désert… ou presque. Le « désert de la Braunhie », c’est l’appellation officielle de cette petite région un peu mythique chargée de légendes. Qui tient toute entière dans un polygone limité par les villages de Lunegarde, Quissac, Fontanes-du-Causse et Reilhac.
Avec Espédaillac pour figure d’emblème. Si le paysage de la commune est façonné par l’élevage de la brebis à lunettes dite « la caussenarde », géologiquement c’est une table de calcaires massifs.
La grande sensibilité de ces roches à la dissolution a favorisé l’enfouissement des eaux. Ce qui donne à l’habitant ou au visiteur l’apparence de surfaces étendues et monotones.
C’est cette association de « pechs » (plateaux) et de « combes » (creux cultivables) qui rend le mieux compte de la structuration de l’espace du causse. Nous sommes au paradis du caillou. La roche affleure partout en dalles plus ou moins continues et éclatées ne donnant que des sols peu fertiles presque entièrement couverts de chênes pubescents.
Les limites parcellaires sont limitées elles aussi, par des kilomètres de murettes de pierres. Les champs, car c’en était, sont parsemés de tas d’empierrement de plusieurs mètres de haut entourés de cazelles (petites cabanes de pierre sèche). Tout témoigne d’un passé des Caussenards obligés de mettre en valeur les terres les plus ingrates.
L’eau au fil des siècles. L’action de l’eau sur la roche est particulièrement déterminante dans la formation du Quercy. Région recouverte par la mer à l’ère secondaire, elle est aujourd’hui principalement composée de vastes plateaux, fruit d’une lente sédimentation qui a accumulé une couche importante de dépôts calcaires.
Partout le calcaire a été le matériau privilégié avec lequel les paysans ont du « coopérer ». Ils l’ont utilisé pour entourer les troupeaux, couvrir les maisons et creuser des abreuvoirs pour les bêtes.
« À la centaine de points d’eau d’origine naturelle (de la commune) réservés à la consommation humaine, il faut ajouter les réservoirs alimentés uniquement par l’eau des toitures. Et les habitants avaient un puits, une citerne ou parfois les deux » note Olivier Reynal.
« L’eau est nulle part et partout : elle ruisselle, s’engouffre en profondeurs, resurgit à l’improviste là où on ne l’attend pas. L’homme a su la capter, l’apprivoiser… »
« Le XIXe siècle sera un grand aménageur de points d’eau. Cette période de développement agricole (et démographique) est propice à l’apparition de dispositifs de maîtrise de la ressource en eau. À cette époque, le développement de l’élevage invite à dissocier l’abreuvement du bétail de la consommation humaine pour éviter que les bêtes ne souillent l’eau. Ainsi certains usages domestiques et agricoles peuvent cohabiter. Les grands lac-abreuvoirs des coudercs d’Espédaillac sont bordés de pierres de lavage pour les grandes lessives saisonnières.
Dans le village si on observe quelques citernes, l’alimentation en eau des maisons est surtout assurée par l’accès à de grands puits à ciel ouvert répartis dans le bourg. Parfois un abreuvoir est installé à proximité pour le bétail. Les troupeaux plus importants utilisent les grands abreuvoirs des coudercs. Les bêtes accèdent à l’eau par un plan incliné taillé dans le roc. Parfois un petit bassin de décantation bloque une partie des sédiments au fil de l’eau » note un rapport de la Commission du Patrimoine du Lot de 2018.
L’eau, la précieuse ressource Les causses que l’historien Jules Michelet comparait d’une façon très imagée aux « vagues géantes d’une mer immobile » occupent les deux tiers du département du Lot. Ces étendues calcaires jurassiques de 200 millions d’années qui ne dépassent pas 400 m d’altitude portent chacun le nom de la localité la plus importante.
Ces vastes plateaux sont l’âme du Haut-Quercy. De la préhistoire à nos jours, l’homme y a complètement façonné le paysage par un travail incessant. Il a déboisé la forêt, épierré le sol, et avant tout, capté les eaux de pluie.
Depuis, l’eau est nulle part et partout : elle ruisselle, s’engouffre en profondeurs, resurgit à l’improviste là où on ne l’attend pas. Souterraine donc souveraine et indépendante, l’homme a su la capter, l’apprivoiser pour devenir fontaines, lavoirs ou mares à tel point qu’on peut parler ici d’une véritable architecture de l’eau.
Aujourd’hui, dans les villages, on est en train de prendre conscience de cette multitude de points d’eau qui avaient jusqu’ici engendré la vie. Chaque génération a fait preuve d’ingéniosité pour la conserver, la protéger et adapter sa « domestication » aux besoins de la vie courante.
« Il est plus facile d’ouvrir un robinet que d’aller remplir le récipient plusieurs fois par jour, même quand la distance à parcourir est faible. L’évolution de nos conditions de vie nous imposera peut-être un jour de réfléchir à notre façon d’utiliser l’eau » conclut Olivier Reynal dans son ouvrage.
L’eau, ressource fondamentale depuis la nuit des temps, hante toujours l’esprit des hommes. Si on a de l’eau « à volonté » à notre disposition, la crise écologique annonce des problèmes à venir.
Précieuse ressource, presque invisible à la surface du causse, l’eau par ses infiltrations souterraines, a sculpté au fil des millénaires, gouffres, canyons, gorges, avens et grottes. Pour en faire « la Terre des merveilles ».
André DÉCUP
Avec l’autorisation de l’auteur et de l’hebdomadaire La Vie Quercynoise que nous remercions pour la grande qualité des articles que nous partageons toujours avec grand plaisir.
Illustration de l’article : lac de Saint-Namphaise (Wikipédia)
L’ouvrage “L’eau à Espédaillac” est disponible en librairies, maisons de la presse et chez l’éditeur édicausse
A partir d’une collection de monnaies anciennes, cette exposition permet un voyage dans l’histoire de la vicomté de Turenne. Elle sera présente :
> à Montvalent au 30 juin 2024 dans la salle Brassac, entrée gratuite
> au prieuré de Carennac du 27 juillet au 4 août 2024, entrée gratuite
Organisation : Association Les Amis de Cavagnac
L’association Latitude-les Amis de Barbara Phillips a le plaisir de reprendre ses rencontres estivales à Saint-Martin-Labouval, où la municipalité l’accueille dans la salle voûtée, en face de l’église. Deux exceptions : la célébration des 25 ans de l’association, le 19 août débutera à 9h30 à Vers par une visite accompagnée de l’aqueduc antique de Divona-Cahors avec l’archéologue Didier Rigal. Elle se poursuivra à 19h au Refuge du Frau, 5793 route de Sauliac, Saint-Martin-Labouval avec une collation légère offerte par l’association, suivie d’un concert avec les musiciens qui ont accompagné ces 25 années, Patrick Bardelli, Michel Griffin et ses amis, et Patrick et Daniel Portales. Inscriptions préalables demandées, pour ces deux événements, de préférence par mail, ou, à défaut, au 06 36 35 79 18.
La seconde exception sera la dernière rencontre de cette année, le lundi 2 septembre à la Halle de Limogne où Geneviève Cornu nous parlera de la création artistique.
Ces rencontres se tiendront à 21 heures.
> Juillet :
le 8, « Les jeux Olympiques dans l’Antiquité : scandales et tricheries » par André Tulet, amateur d’histoire ;
le 15, « La médecine hier, aujourd’hui et demain » par Gérard Amigues, ancien médecin ;
le 22, « La biodiversité au cours des temps : La vie n’est (vraiment) pas un long fleuve tranquille » par Gilles Escarguel, paléontologue ;
le 29, « Johannes Vermeer ou les sentiments dissimulés » par Jeanne Janiczak, passionnée de peinture.
> Août :
le 5, « Affaire sensible : Abel Bessac, André Breton et le mammouth du Pech Merle » par Michel Auvray, historien et journaliste ;
le 12, « Enfance paysanne lotoise au milieu du XXe siècle »par Christophe Wargny, universitaire et écrivain ;
le 26, « Lecture de poèmes de la Résistance » par Jean-Luc Axelrad, amoureux de poésie (cette séance sera précédée, à 18h30, de l’Assemblée générale annuelle de l’association et, à 20h, d’un repas partagé).
le 2 septembre, à la Halle de Limogne, « Comprendre la création artistique » par Geneviève Cornu.
Contact et renseignements : contact@latitudebarbara.net
Site Internet : http://latitudebarbara.net/
Tel : 0645707516*
L’association Latitude les amis de Barbara Phillips est partenaire de Quercy net
Le Festival Escambis est un festival original qui favorise la diversité culturelle sur un territoire qui ne demande qu’à s’enrichir. Sa force est de rassembler dans une ambiance conviviale et festive, dans la convivéncia, cet art de vivre ensemble. La 9ème édition se déroulera les 24, 25 et 26 mai prochains à Saint-Céré, Bannes et Saint-Jean Lagineste.
LES 24, 25 et 26 MAI 2023
Toute la journée à la Maison des Associations, quai Auguste Salesse : RASSEMBLEMENT SCOLAIRE OCCITAN.
Le matin : chants, comptines, danses, saynètes par tous les élèves qui apprennent cette langue.
L’après-midi : restitution d’un projet “Électro-Trad” par les collégiens et François DUMEAUX suivie d’un mini-concert par ce musicien.
Entrée gratuite et ouverte à tous.
Séverine BONNIN et le chant ne font qu’un depuis toujours. Sa voix dans la nuit éclaire la route perdue de ceux qui ont encore soif d’amour et de justice. Ouvrant sa main à toutes les tendresses et générosités, elle sait aussi serrer les poings contre tout ce qui va sans coeur, aveuglé de gain et de domination. Séverine chante ses émotions avec délicatesse mais rugit également avec grâce et puissance tous ses engagements et ses convictions. Dans son nouvel album “Flama de libertat”, elle porte des messages forts sur la nature, la révolte et l’injustice, l’engagement culturel, des thèmes qui lui tiennent particulièrement à coeur. Une artiste à découvrir qui chante aussi en corse et en français.
Tarifs : 10 euros / 8 euros pour les adhérents et – de 18 ans / Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans.
Buvette. Stand de livres et de produits culturels occitans.
10h30 : rencontre avec des locuteurs de langue maternelle occitane de Bannes et des alentours qui évoqueront les moulins, les fours, les lieux-dits avec la projection d’un diaporama photos. Animation gratuite.
15h, à l’église : concert avec Eric FRAJ et Morgan ASTRUC.
Eric FRAJ chante depuis 50 ans en occitan, catalan, espagnol, et français. Il compte à son actif une dizaine de créations de spectacles, une quinzaine de disques et trois livres, mais surtout des centaines de concerts en France (Occitanie, Pays Basque, Corse, Bretagne, Paris…) et ailleurs (Casablanca, Barcelone, Valence, Madrid, Göttingen). Petit-fils d’un immigré valencien, il exprime par son art son goût de la pluralité et son engagement pour la fraternité humaine. Eric Fraj sera accompagné par le musicien professionnel de grand talent Morgan ASTRUC, à la guitare. Participation libre au chapeau.
C’est la 4ème année qu’AQUÍ L’ÒC organise ce concours d’écriture en occitan. Gratuit et ouvert à tous, il compte 4 catégories : élémentaires, collégiens, lycéens, adultes et les productions peuvent être individuelles ou collectives. Cette année, l’Association a choisi une lettre dont le thème pouvait être demander un service ou porter une réclamation, s’adresser à un membre de sa famille ou à un ami dans un contexte triste ou joyeux. Entrée gratuite.
19h-19h30 : repas sur réservations avant le 17 mai.
Buffet froid avec plusieurs salades et viandes Salade verte et cabécou ou cantal Tarte aux pommes Vin et café compris Tarifs : 20 euros pour adultes / 10 euros pour enfants Repas + concert-bal : 25 euros pour adultes / 20 euros pour adhérents (concert-bal gratuit).
Tarifs : 10 euros pour adultes / 5 euros pour les adhérents ou moins de 18 ans. Gratuit pour les enfants.
LO GAT est composé de Mélanie BRELAUD au violon, hardingfele, chant et de Julien CASANOVAS au violon et à la mandoline. À travers son bal, il explore le répertoire du Quercy, de Gascogne et d’Auvergne en laissant une porte ouverte vers la Suède, l’Irlande et les musiques d’Amérique du nord. C’est un voyage entre des collectages retravaillés pour un duo de cordes, et des compositions aux influences scandinaves.
Tarif : 15 euros.
Jean-Jacques DELMAS et Stéphane CLERC vous proposent des récits, des lectures théâtralisées, des chansons et de la musique avec une projection de photos, en préambule de la sortie d’un livre “Enric Caire, Òbra poëtica complèta” par les Éditions de l’IEO du Lot.
LE TRAÏTOU DU SÉGALA a vu le jour en 1987 sur les communes de Sainte-Colombe et Labathude, sur le canton de Lacapelle-Marival. Le mot traïtou désigne le nom que le berger donnait à son chien. Le mot Ségala vient de seigle, céréale autrefois cultivée sur ces terres peu fertiles. Ce groupe de folklore lotois compte des musiciens, des couples de danseurs et un animateur.
Courriel : asso.aquiloc@gmail.com
Les institutions ont toujours un peu de mal à communiquer. Entre savoir-faire et faire-savoir, il y a toujours un peu de distance à parcourir pour réussir à faire passer le message !
Décorée de bleu, couleur associée à la sérénité, à la sagesse et au rêve ; c’est un bon choix ! on en a tellement besoin.
Vous pouvez la lire dans son intégralité en CLIQUANT CE LIEN
Difficile d’imaginer aujourd’hui le monde tel qu’il était en 1921 lorsque Hortense est née au petit bourg de Gindou dans le Lot.
Pas d’ordinateur bien sûr pour voir ces images, pas de télévision, pas de téléphone portable, pas de téléphone du tout . pas de voitures sur la route qui coupe le village en deux, pas de tracteurs dans les champs, ici presque tout le monde est agriculteur. Pas de radio, car pas d’électricité, pas de frigidaire ou de congélateur, de micro onde, de grille pain, de séche cheveux, de rasoir électrique, de volets électriques, de sonnette.
Pas d’eau courante non plus, non, en 1921 on sort juste d’une guerre qui a saigné le pays et tout se fait à la main, chez soi le plus souvent, et si on doit se déplacer c’est presque toujours à pied.
1921 rappelez vous c’était hier et tout le monde ou presque parlait occitan.
Sur YouTube, vous pouvez activer la traduction.
Un film de Daniel Mézergues
L’association des Amis de l’Abbaye de Marcilhac-sur-Célé est partenaire de Quercy net
Le service du patrimoine de la ville de Cahors et l’office de tourisme de Cahors, Vallée du Lot proposent chaque mardi du mois d’avril une visite “Saint-Cirq-Lapopie historique”.
Niché au sommet de la falaise, le village de Saint-Cirq-Lapopie vous plonge au cœur de cette ambiance médiévale bordé par ses ruelles et ses jardins intimes. Classé parmi les plus beaux villages de France avec ses treize édifices protégés au titre des monuments historiques, vous serez séduit par son histoire et son patrimoine, entre maisons datant du XIIe siècle au XVe siècle et leurs arcades marchandes, les vestiges de son château seigneurial ou les nombreuses échoppes qui animent son centre-ville.
Source d’inspiration pour les artistes du XXe siècle, ce lieu a longtemps été au cœur de la création artistique, en témoignent les traces laissées par Henri Martin, Pierre Daura ou encore André Breton, dont on peut découvrir la demeure, labellisée “maison d’artiste”.
Départ à 10 h 30 de l’office de tourisme de Saint-Cirq-Lapopie. Tarifs : 8 € adultes / 6 € tarif réduit. Informations au public : Direction du patrimoine de la ville de Cahors : 05 65 20 88 91 ou 05 65 20 88 77. Office de tourisme de Cahors, Vallée du Lot : 05 65 53 20 65.
On peut également découvrir le quotidien des habitants de ce village depuis les origines jusqu’aux guerres de Religion (16e siècle) dans l’ouvrage signé du médiéviste Patrice Foissac et publié en 2023 chez édicausse. Il est disponible à l’Office de tourisme de Saint-Cirq-Lapopie.
Merci à Jean-Michel Rivière pour le partage de ses photos révélatrices d’une intense ferveur en mémoire des combattants qui se sont engagés contre l’occupant. Le “Coup de Cajarc” du 10 avril 1944 fera entrer dans l’histoire nos résistants conduits par Jacques Chapou dans ce premier engagement rassemblant les maquis du Lot et ceux de l’Aveyron.
Cliquez les images (x 2) pour agrandir
– Les concerts du marché reprennent à partir du samedi 6 avril 2024 –
Avec la complicité de la paroisse Saint-Etienne de Cahors, « l’Association des Amis de l’Orgue de la Cathédrale de Cahors » a, pour le 14e année consécutive, organisé un série de petits concerts ou chant, musique ancienne, orgue, flûtes, violon et autres instruments qui s’alterneront pour le plus grand plaisir des visiteurs du marché.
Les quatre premiers concerts se dérouleront sous forme de « concerts commentés » sur le thème de la musique française du XVIIe et XVIIIe siècles. Nul besoin d’être capable de lire une partition, d’avoir une grande connaissance des formes musicales ! votre curiosité suffit amplement.
Chaque samedi de 11 h à 11 h 30 vous pouvez vous poser un instant dans la cathédrale pour profiter de ces moments de détente musicale. Les « concerts du marché » commencent à 11 heure précises et sont gratuits.
Détails de chaque concert du marché
sur le site des Amis de l’Orgue de la Cathédrale en cliquant CE LIEN
L’association des Amis de l’Orgue de la cathédrale de Cahors est partenaire de Quercy net
Un article de Philippe Viguié-Desplaces dans l’édition digitale du Figaro nous propose quelques destinations moins fréquentées en période estivales.
Pris d’assaut par une vague humaine, comme un tsunami touristique, certains de nos plus beaux villages de France en sont devenus infréquentables entre le 14 juillet et le 20 août. Ces destinations sont à proscrire, mais des villages à quelques kilomètres seulement sont une alternative parfaites à la haute saison.
Pour lire l’article dans sa totalité : Cliquez ce lien
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