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Retour à la terre… cuite : premier rendez-vous samedi 21 juin à 11 h

Le Céou entre Lot et Dordogne : une belle découverte très documentée

 

Source : blog des Bourians

A découvrir ou re-découvrir en compagnie de Didier Rigal

DIVONA-CAHORS à L’ÉPOQUE GALLO-ROMAINE

Un nouvel ouvrage lancé en souscription par les auteur Didier Rigal et Frédéric Rivière

Voyage archéologique dans la cité cadurcienne
Depuis ces dernières décennies, grâce à l’archéologie préventive, les connaissances sur la ville antique de Divona-Cahors ont connu un développement considérable. Tous les monuments que se doit de posséder une ville romaine se retrouvent à Cahors. Peut-être même y sont-ils surdimensionnés par rapport à la population estimée. Forum, thermes, temples, théâtre, aqueduc, amphithéâtre, campus, castellum, riches domus aux sols mosaïqués, tout est là, sous nos yeux ou, plus souvent, sous nos pieds.
Au fil des pages, le lecteur pourra aller à la découverte de cette ville disparue dont ne subsistent aujourd’hui que des bribes, mais aussi découvrir son évolution, les techniques et les matériaux de construction employés, l’organisation des chantiers successifs et de nombreux aspects de la vie quotidienne de cette capitale de cité, celle du peuple des Cadurques.

L’ouvrage :  format 24 x 21, dos carré collé, environ 100 pages, plus de 70 illustrations (dont certaines signées Christian Verdun) : cartes, photos, relevés, restitutions, etc.
Prix de souscription : 19 € (jusqu’au 1er juillet) / + d’information sur Facebook en CLIQUANT CE LIEN

Bulletin_souscription à télécharger

La liste « Fouiller en bénévole ou visiter un chantier archéologique »

Vous voulez fouiller sur un chantier archéologique ? Vous avez un stage de fouille à faire ? Vous souhaitez seulement visiter le chantier ? La liste « Fouiller bénévolement ou visiter un chantier archéologique » vous donne toutes les indications utiles.

> Cette liste est mise à jour en flux tendu pendant toute la saison de fouille. De nombreux chantiers vont s’y ajouter.
> Participer à un chantier de fouille : comment s’inscrire

Renseignement sur la liste des chantiers
Sophie Goedert / direction générale des patrimoines et de l’architecture

sous-direction de l’archéologie
01 40 15 77 15 / chantiers-de-fouilles@culture.gouv.fr

Un premier ouvrage sur la Résistance par Sarah Chabert, l’arrière petite fille de Jean-Jacques Chapou

28 juin 1944, la Gestapo effectue une descente au Café du Midi, boulevard Gambetta à Cahors. La patronne Hélène Metges et Esther Lévy une employée seront arrêtées. Suivra peu après sur la commune d’Arcambal, la même opération dans une maison occupée par la famille Lévy. Trois d’entre eux seront arrêtés et deux ressortissants espagnols fusillés. La maison sera incendiée.
Mesures de déportation et d’autres assassinats viendront s’ajouter à ce sombre récit.

Mais que reste-t-il aujourd’hui du Café du Midi, de l’histoire de ses occupants ?

Une foultitude de personnages : héros, victimes, bourreaux, sans oublier la cohorte des oubliés et inconnus ; tous nous interpellent.
>> Quelle empreinte ont-ils laissé à Cahors et dans le département du Lot ?
>> Quels récits demeurent ?

A l’aide de témoignages exclusifs, recherches d’archives, de collectes de photos dont certaines inédites à ce jour, Sarah Chabert, arrière petite-fille de Jean-Jacques Chapou, doctorante à l’Université de Bourgogne, tentera de répondre, dans ce premier ouvrage parfaitement documenté, aux questions légitimes sur l’empreinte laissée après les sombres années de ce Second Conflit mondial.

CAHORS. LE CAFÉ DU MIDI DANS LA TOURMENTE. ITINÉRAIRES CROISÉES D’HOMMES ET DE FEMMES DANS LE BOUILLONNEMENT DE L’HISTOIRE DE LA RESISTANCE

Ce livre est en souscription jusqu’au 15 septembre
100 pages couleur / Prix spécial : 15 € au lie de 20 €

Informations et réservation en cliquant CE LIEN

La Société Archéologique du Midi de la France sur YouTube

À l’occasion du lancement de cette chaîne YouTube, Virginie CZERNIAK, présidente de la SAMF, vous présente en quelques minutes les missions de la SAMF et vous dévoile les petits secrets de l’hôtel d’Assezat.

Musée de la Résistance, de la Déportation et de la Libération du Lot : Un don exceptionnel de photos

Après Donna Wakeman qui était revenue sur les traces de son père, le  capitaine William Hawk-Daniels alias capitaine Dick, officier de l’Office of Strategic Services, et qui avait donné les faux papiers et le rapport officiel de la mission au Musée de la Résistance, de la Déportation et de la Libération du Lot, c’est Olivia Atterton (3e en partant de la droite sur la photo) qui a fait un don exceptionnel à l’association de photos de son père David, membre de l’Operational Group Emily. « Je suis honorée d’avoir trouvé le bon endroit pour conserver ces archives qui sont importantes pour moi. Je suis émue de revenir sur les lieux où mon père a combattu. Il ne m’a jamais parlé de cette période. C’est ma mère qui m’a dit qu’il faisait partie d’un groupe opérationnel. Je ne connaissais pas bien mon père. C’est une façon de renouer le lien avec lui. Il adorait la France » a confié l’Américaine. « Nous continuons à oeuvrer pour enrichir les collections du futur Musée qui ouvrira début 2026 » a expliqué Sylvie Caroff, conseillère municipale déléguée en charge du projet du futur Musée, aux côtés de Jean-Luc Couderc du Musée, Emmanuel Carrère, chef de projet du musée de la Résistance. Charlotte Leroy et Enzo Delpech, chargés de Recherches à la Direction du patrimoine de la Ville de Cahors. 

Source : médialot

 

Cahors entre dans le réseau des « villes sanctuaires »

Cahors rejoint désormais le Mont Saint Michel, Lourdes, et 19 autres villes dont 9 sont inscrites sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO (ou en cours d’inscription).

La présence de la Sainte-Coiffe (*) devrait sans doute donner une impulsion dans le cadre d’un circuit avec les autres villes sanctuaires dont  Lourdes bien évidemment.

(*) La Sainte Coiffe est vénérée à Cahors depuis des siècles comme ce linge qui aurait entouré la tête de Jésus lors de son ensevelissement et qui a été vu par Pierre et Jean le matin de Pâques au tombeau vide.

Nouvelles recherches sur la fin des temps glaciaires dans la vallée de l’Alzou

Rendez-vous au Centre de Préhistoire du Pech Merle
18 avril 2025 / 18 h / entrée libre

Cette conférence organisée par le Centre de Préhistoire du Pech Merle à Cabrerets présentera les travaux menés depuis 2017 sur le site de l’Abri Malaurie, sur les bords de l’Alzou, commune de Rocamadour. Ce site préhistorique découvert il y a 101 ans avait fait l’objet de recherches en 1924 et 1925 par Armand Viré et André Niederlender. Depuis le site est resté en l’état jusqu’à ce qu’une équipe de chercheurs de l’Université de Bordeaux en reprenne l’étude. Après 7 années de fouilles archéologiques, les scientifiques ont mis au jour des outils en pierre, des restes d’animaux et de foyers qui révèlent le mode de vie des groupes humains il y a 12 à 13 000 ans.

Le gisement de l’abri Malaurie est complémentaire d’un autre, l’abri Murat, situé à quelques dizaines de mètres et occupé entre 15 500 et 13 000 ans. Étudié à plusieurs reprises depuis sa découverte en 1914, l’abri Murat a fourni d’autres indications qui témoignent de l’activité des populations sur une période un peu plus ancienne. Ainsi les données de ces deux sites permettent de suivre l’évolution sur plus de 3 000 ans au moment des grandes évolutions environnementales liées à la fin de la dernière glaciation.

Cette conférence sera présentée par Véronique Laroulandie et Mathieu Langlais, tous deux préhistoriens au CNRS et à l’université de Bordeaux (laboratoire PACEA).

Le Centre de Préhistoire de Pech Merle
est partenaire de Quercy net

La nature en deuil : un nouveau cri d’alerte de la Ligue de Protection des Oiseaux

Mercredi 19 mars, de nombreux adhérents de la LPO Occitanie dans le Lot ont répondu présents à l’appel à déambuler à Cahors, devant la préfecture et pendant le marché pour interpeller les citoyens présents sur l’urgence de la situation afin que chacun s’engage et agisse à son échelle via l’évènement « Nature en deuil ».

Le discours prononcé s’appuyait sur les rapports publiés en décembre 2024 par les experts internationaux de la Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) qui dressent un bilan sans appel : la destruction des habitats naturels, la surexploitation des ressources, la pollution, le réchauffement climatique mettent en péril les économies, les moyens de subsistance, la sécurité alimentaire et la santé des populations partout sur Terre.

+ d’informations en cliquant CE LIEN

 

Illustration : LPO 46

Des Racines et des Ailes la vérité sur le château de Lantis sur Antenne d’Oc

Dans l’émission Des Racines et des Ailes du 5 février 2025, la propriétaire du château de Lantis à Dégagnac, affirme avoir redécouvert un château prétendument enseveli. Or, les archives prouvent que le château n’a jamais disparu, soulevant de sérieuses questions sur le manque de vérification de la production. Patrice Foissac, médiéviste et membre de la Société d’Etude du Lot rétablie la vérité au travers de cette interview.

Aujourd’hui, malgré quelques rectifications, l’impact du reportage reste fort. Antenne d’Oc s’engage à défendre la vérité et à préserver l’histoire du patrimoine Lotois.

Pour écouter l’emission : CLIQUEZ CE LIEN

Vignes et vins en Quercy, des origines au phylloxéra conférence à Saint-Céré

Samedi 22 mars à 17 h 30, à l’auditorium de Saint-Céré, une conférence, organisée par les Amis du pays de Saint-Céré, sera donnée par Sophie Brenac-Lafon, docteure en histoire moderne, et Patrice Foissac, historien-médiéviste. Ils tenteront de résumer cette histoire millénaire.

Découvrez le programme culturel proposé durant l’été 2025 à l’abbaye de Marcilhac-sur-Célé

Entre juillet et septembre, 22 événements culturels 

La musique classique a la part belle avec 8 concerts, en particulier dans le cadre du Festival d’orgue et du Festival Quatuor à Marcilhac.
Six visites ou balades sont aussi à l’affiche, afin de découvrir avec des spécialistes quelques merveilles de Marcilhac et de son proche environnement.
Deux expositions sont aussi prévues sur les cimaises de la salle capitulaire de l’ancienne Abbaye.
Nous sommes honorés d’accueillir une nouvelle fois, les peintres et graveurs, John et Hilary Hoyland.
Leur exposition fait suite au concours de peinture et de dessin dont c’est la sixième édition.
Pour la quatrième année, Geneviève Mignat nous propose son exposition de photos anciennes, intitulée « Il était une fois Marcilhac ».
Concernant le 3e Salon du Livre sur le « Patrimoine et l’Histoire de l’Occitanie », que nous organisons le 12 août, nous attendons la plupart des éditeurs et auteurs régionaux des ouvrages récemment publiés.
Nous souhaitons que la diversité et la qualité des manifestations proposées vous incitent à (re)venir à Marcilhac-sur-Célé et à vous imprégner de l’esprit si particulier de ce village blotti autour de son ancienne abbaye fortifiée.

On peut télécharger le Planning programme Marcilhac 2025

Pour plus d’information, n’hésitez pas à nous contacter : contact@abbaye-marcilhac.fr
www.abbaye-marcilhac.fr
www.amis-abbayedemarcilhac.fr

La maison d’Espère : Une histoire à compléter

Consacré à l’histoire d’une maison d’enfants ayant accueilli et protégé des enfants juifs victimes des persécutions et donc de la Shoah, le site internet www.maison-espere.fr est en ligne depuis le 1er mars 2025

DE QUOI S’AGIT-IL ?

Juin 1940. Des millions de Français fuient l’avancée allemande. Parmi les derniers arrivés dans le Lot, un groupe d’une quinzaine d’enfants et leurs encadrants de l’Œuvre Israélite des Séjours à la Campagne (OSC). Ils ont quitté leur centre de Louveciennes, près de Paris. Orphelins ou placés par leurs parents en situation de précarité, avec les adultes, ils se dirigent d’abord vers le château de Mercuès. Cela ressemble presque à l’arrivée d’une colonie de vacances. Mais au fil des semaines puis des mois, le groupe s’enracine.

Après le château de Mercuès, il prend ses quartiers dans une maison plus adaptée de ce même village, avant de s’établir à Douelle, commune voisine, et enfin, au printemps 1942, il est accueilli au sein de la Maison Dupuy, dans le bien nommé village d’Espère. C’est aussi en 1942 que l’Œuvre de Secours aux Enfants (OSÉ) prend le relais de l’OSC. L’organisme a accru considérablement son activité, notamment dans les camps de Gurs et Rivesaltes. Mais une fois exfiltrés les enfants dès lors séparés de leurs parents bientôt déportés, il faut en parallèle, davantage de lieux de placement dans des familles ou des institutions collectives.

Au sein de ce réseau, la maison d’Espère devient une « maison relais ». Certains enfants, français ou étrangers, ne font qu’y passer quelques jours. D’autres y restent de juin 1940 à décembre 1943.

A cette date, en effet, la situation est jugée trop dangereuse. Le risque d’une rafle impose de partir. Les protégés du home lotois sont dirigés vers la Creuse, puis dans les Alpes en vue de passer en Suisse.

En l’état des archives disponibles, la maison d’Espère aura accueilli et protégé durant leur séjour quelque 80 enfants. Toujours selon nos recherches, quelques-uns seront hélas arrêtés puis déportés au printemps 1944. Mais il demeure que de 1940 à la fin 1943, ils auront été épargnés, choyés, et pour beaucoup scolarisés.

C’est l’histoire de cette maison, jusqu’alors seulement mentionnée dans certains ouvrages spécialisés, que nous nous proposons de retracer. C’est l’itinéraire de ces garçons et filles, enfants ou adolescents, orphelins pour la grande majorité, avant, pendant et après la guerre, que nous avons essayé de reconstituer, en citoyens soucieux de respecter la rigueur nécessaire au travail historique et ce faisant, de laisser témoignage de ces faits qui constituent un volet de ces années tragiques. Dans le Lot, ces enfants juifs ou considérés comme tels par le régime de Vichy et l’Occupant nazi ont pu vivre presque comme tous les autres enfants. Grâce à leurs encadrants et aux organisations de secours, grâce à la bienveillance de la population locale.

Pourquoi un site Internet ?

« Ce devait être un livre, c’est un site Internet, car certaines pages sont encore blanches, certains épisodes de cette histoire sont encore à enrichir : un site pourra plus aisément être mis à jour… »

Il nous manque en effet des éléments concernant plusieurs enfants.

Par ailleurs, à Cahors ou ailleurs, des particuliers peuvent posséder, dans leurs archives des photos ou autres documents pouvant éclairer cette histoire.

En circulant en France, aux Etats-Unis, en Israël, notamment, le site pourra ainsi être facilement mis à jour. Merci d’avance de faire circuler le lien du site par envois courriels ou sur les réseaux sociaux…

ASSOCIATION POUR L’HISTOIRE ET LA MEMOIRE DE LA MAISON D’ESPÈRE 

Contacts : Philippe Mellet 06 80 60 09 49 /  Nelly Blaya 06 81 19 94 54

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