L’association Latitude, les Amis de Barbara Phillips accueille David Viennet, hydrogéologue au Parc Naturel Régional des Causses du Quercy,
Il expliquera comment les moyens de l’hydrogéologie moderne permettent de lever les mystères de l’origine de l’eau et de sécuriser l’eau potable. Il montrera comment l’eau a formé dans le calcaire des causses un vaste réseau de cavités, capturant des rivières et ressortant par de nombreuses sources : c’est le karst. L’eau du karst est utilisée pour l’alimentation en eau potable, sa provenance est souvent mal connue. Les travaux scientifiques passés ont pu identifier les chemins de l’eau par coloration mais aussi par sa chimie. Pour percer les mystères de ces écoulements souterrains, le Parc a mis en place en 2017 un observatoire situé en surface et en souterrain. La thèse de David Viennet, soutenue en 2020 à l’université de Rouen Normandie, traite des transferts de sédiments dans les bassins hydrographiques souterrains et de surface.
La conférence sera suivie d’un verre de l’amitié. contact@latitudebarbara.net et http://latitudebarbara.net
Rendez-vous mardi 15 juillet, à 21 h, dans la Salle voûtée
L’association Latitude, les Amis de Barbara Phillips
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Conférence sur l’origine des noms de lieux de la Bouriane
Vendredi 11 juillet à 18h à la salle des fêtes de CAZALS, l’historienne Françoise Auricoste donnera une conférence sur la toponymie des noms de lieux de la Bouriane. Sujet passionnant qui intéressera tout un chacun et permettra de dévoiler l’origine des noms familiers de nos lieux de vie. Entrée gratuite.
Concert vocal à la chapelle de Cazals
Samedi 12 juillet à 19h à la chapelle de Cazals le chœur de chambre des choristes de l’Université St Andrews offrira un magnifique concert avec au programme des chants sacrés et traditionnels écossais, français, et anglais. Venez écouter ces jeunes étudiants de la plus ancienne université d’Écosse (fondée en 1413) pour un agréable moment musical. La participation est libre.
Organisation / contact : association pour la sauvegarde du patrimoine de Cazals
06 67 20 98 90
1-Mardi 15 juillet / 9 h 30 / église de Blars / VISITE « Les secrets de l’église Saint-Laurent de Blars, ancien prieuré de l’abbaye Saint-Pierre de Marcilhac-sur-Célé » visite guidée parClaude SOIROT, architecte DPLG Participation aux frais: 5 €, gratuit pour les membres de l’Association et les enfants jusqu’à 12 ans
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Découverte et analyse architecturale d’un édifice remarquable par sa structure, son histoire compliquée et la qualité de ses décors ; elle sera complétée par la présentation d’images en trois dimensions, qui permettra de mieux comprendre l’évolution de l’église au cours des siècles.
L’ouvrage « Eglise Saint-Laurent de Blars, histoire, architecture et guide de visite » écrit par Claude Soirot et édité par « Les amis de l’Abbaye » sera disponible à l’issue de la conférence.
2- Mardi 15 juillet / 17 h 30 / salle capitulaire de l’abbaye de Marcilhac-sur-Célé / CONFERENCE / « Du grain à moudre » : Histoire et évolution des meules des moulins – leur place dans la filière de la farine Conférence donnéepar Alain TURQ, conservateur en chef du Patrimoine, auteur de l’ouvrage éponyme, édité par édicausse . Entrée libre
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Les meules, sont l’âme, le cœur des moulins ; elles ont, durant des siècles, contribué à nourrir les hommes. Elles ont donc de longues histoires à nous raconter, celles du choix des matériaux, des carrières, des hommes qui les ont fabriquées, vendues ou entretenues…
A partir des propos des derniers meuliers recueillis au début des années 2000, la conférence évoquera leur vie, leur métier, des anecdotes, les possibilités de transport qu’offraient les eaux de nos rivières, puis le chemin de fer qui ont contribué à la fabuleuse aventure artisanale et industrielle de la meunerie régionale.
Elle permettra de répondre à de nombreuses questions sur l’évolution des meules au cours du temps, les carrières et les roches utilisées, l’adaptation des hommes aux ressources locales ainsi que le rôle des acteurs économiques et politiques dans le développement et la disparition de la meunerie à la meule de pierre. Ce volet de notre histoire collective qui nous sera contée sera complété, pour les participants qui le désirent, par une courte visite du moulin de Marcilhac (ancien « moulin banal » de l’Abbaye bénédictine, attesté en 1420), par son meunier, Didier THAMIER.
Evénements organisés par l’association des Amis de l’Abbaye de Marcilhac-sur-Célé
Contact : tél. 06 28 05 07 33 ou contact@abbaye-marcilhac.fr
L’association des Amis de l’Abbaye de Marcilhac-sur-Célé
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> mardi 8 juillet : Accueil de LAŸLA NAHAS, graphiste, jeune artiste installée dans la région de Gourdon. Le thème de son exposition : ‘’Écrire et dessiner la Palestine, l’art à l’heure du numérique : un outil de libérations multiples.’’ Layla est d’origine palestinienne. Dans ses œuvres elle témoigne de son attachement à cette terre et à sa famille restée sur place. En octobre 2020, elle se replonge dans le dessin grâce à la démocratisation des outils numériques. Instinctivement, c’est la Palestine qu’elle dessine et publie ses œuvres dans son atelier-édition l’Oiseau Lÿre. Lors de sa causerie, elle abordera les capacités du numérique ouvrant sur l’art.
Notre ami, YVES FAUCOUP déjà intervenu à l’ATA et journaliste, viendra soutenir cette causerie.
> vendredi 11 juillet : accueil de PHILIPPE SALGUES, déjà venu l’an passé nous présenter l’aïkido. Fort de ses recherches sur un grand oncle nommé Roger Couderc, homonyme et sans lien avec le ‘’souillagais’’, personnalité haute en couleurs du début du 20ème siècle, Philippe présentera l’histoire singulière de ce personnage quercynois : « Un humaniste républicain au destin sans orgueil ».
Les causeries débutent à 19 heures.
Avant chaque causerie vous pouvez venir admirer les expositions de Jean-Louis Rouget peintre et de Florence Fournié sculptrice et céramiste à partir de 18h30.
Le repas partagé se déroulera sous les ifs. Chacun amène un plat à partager. Comme retenu lors de l’AG, nous vous demandons d’apporter chacun vos couverts et vos assiettes. Merci
Participation libre aux causeries pour défrayer les intervenants.
A bientôt le plaisir de se retrouver. / Mado Thiveaud / 06 84 78 33 16
Enfin ! allais-je dire. L’information est d’autant plus surprenante que le monde du livre, exceptées dans quelques thématiques, ne nourrit pas forcément les audacieux (ses). Louise Lefaux, la maîtresse des lieux qui a déjà fait ses preuves dans ce secteur économique mais également dans le Lot, était déterminée à avoir « sa librairie ».
Sous l’enseigne « La chamade » nom qui nous rappelle quelques célébrités, Louise vous attend dans un espace où chacune et chacun pourra trouver son bonheur ; c’est aussi en lui faisant partager vos passions et vos attentes que vous lui permettrez de façonner son projet. Le livre invite forcément au partage et Cajarc bénéficie d’un atout supplémentaire dans ses commerces !
Pour la visite : Horaires : le mardi de 14 h 30 à 18 h 30, du mercredi au samedi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 h 30 à 18 h 30. Le dimanche de 9 h 30 à 12 h 30. / 06 33 60 71 89 / librairielachamade@gmail.com
Un nouvel ouvrage lancé en souscription par les auteur Didier Rigal et Frédéric Rivière
Voyage archéologique dans la cité cadurcienne
Depuis ces dernières décennies, grâce à l’archéologie préventive, les connaissances sur la ville antique de Divona-Cahors ont connu un développement considérable. Tous les monuments que se doit de posséder une ville romaine se retrouvent à Cahors. Peut-être même y sont-ils surdimensionnés par rapport à la population estimée. Forum, thermes, temples, théâtre, aqueduc, amphithéâtre, campus, castellum, riches domus aux sols mosaïqués, tout est là, sous nos yeux ou, plus souvent, sous nos pieds.
Au fil des pages, le lecteur pourra aller à la découverte de cette ville disparue dont ne subsistent aujourd’hui que des bribes, mais aussi découvrir son évolution, les techniques et les matériaux de construction employés, l’organisation des chantiers successifs et de nombreux aspects de la vie quotidienne de cette capitale de cité, celle du peuple des Cadurques.
L’ouvrage : format 24 x 21, dos carré collé, environ 100 pages, plus de 70 illustrations (dont certaines signées Christian Verdun) : cartes, photos, relevés, restitutions, etc.
Prix de souscription : 19 € (jusqu’au 1er juillet) / + d’information sur Facebook en CLIQUANT CE LIEN
Les concerts, d’une durée de 30mn en général, ont lieu dans la cathédrale, à 11h précises.
Ils ont lieu en même temps que se tient le marché sur la place, et permettent aux habitants et aux visiteurs, habitués ou curieux, une halte bienvenue.
La programmation se déroule du 26 avril au 28 juin, avec quelques interruptions dues aux évènements locaux ou fêtes religieuses.
Les ensembles sollicités pour se produire sont le plus souvent des ensembles lotois, une petite exception cette année avec l’ensemble Carminae XXI, qui nous vient du Tarn et Garonne.
Les concerts du marché sont ouvert à tous et gratuits.
Les 2 premiers concerts, samedi 26 avril et samedi 3 mai, seront interprétés et commentés par Albertus Dercksen, titulaire du grand orgue de la cathédrale de Cahors.
Ils seront consacrés à L’Orgelbüchlein ou Petit livre d’orgue, BWV 599-644, un recueil de 46 préludes de chorals pour orgue composés par Jean-Sébastien Bach entre 1713 et 1747.
À l’origine, Bach avait prévu de composer 164 chorals recouvrant toute l’année liturgique. Pour les noter, il utilisa un cahier relié en cuir de 92 feuilles au format paysage. Au dessus de chaque page, Bach a inscrit le titre du choral prévu. Seuls 46 chorals furent effectivement composés, les autres pages furent laissées blanches.
Dans la dédicace, ajoutée vers 1722, Bach insiste sur les deux aspects didactiques qu’il entend développer à travers son Livre d’orgue. Technique d’abord, puisque le débutant va y rencontrer toutes sortes de difficultés , notamment dans le jeu du pédalier. Musical d’autre part, puisque de nombreuses façons de traiter le choral y sont montrées. Ce document est pour nous un véritable traité de composition.
L’association des Amis de l’Orgue de la Cathédrale
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Fin janvier 2025, l’assemblée générale des Amis de la Maison Jacob s’est tenue dans la salle de la mairie de Castelnau-Montratier, réunissant 22 participants. À cette occasion, l’association a dressé le bilan de l’année écoulée et présenté ses projets pour 2025, notamment l’installation dans le nouveau lieu d’exposition « Le patio des arts ». Un nom très prometteur quant au déploiement de l’association qui attendait depuis des années un vaste lieu d’exposition. Vernissage du nouveau lieu et de la 1re exposition de l’année 2025, dimanche 6 avril 2025 à midi, à Castelnau-Montratier.
Geneviève Jarzac, secrétaire de l’association, a présenté le rapport d’activités de l’année écoulée. En 2024, six expositions ont permis de mettre en lumière des peintres, dessinateurs et photographes dont les œuvres ont animé le village. Deux conférences ont également été organisées : l’une sur Hundertwasser, artiste et architecte visionnaire, l’autre sur Zao Wou-Ki, peintre franco-chinois reconnu.
Dans son rapport moral, Fabienne Sutter, membre du Conseil Collégial, a rappelé la composition du bureau 2024 et accueilli chaleureusement les adhérents présents. Elle a ensuite évoqué l’avancée des travaux du futur espace d’exposition, mis à disposition par la mairie au rez-de-chaussée de l’ancien EHPAD. Baptisé Le Patio des Arts, ce lieu, en cours de rénovation, devrait être prêt au plus tard en avril 2025.
Claudine Boissel, conseillère municipale et principale interlocutrice auprès de l’association, a précisé l’état des travaux : les peintures et installations électriques sont en cours, le chauffage fonctionne et les nouveaux stores sont installés. Reste à la charge de l’association le nettoyage des boiseries et des sols, la pose des cimaises ainsi que l’aménagement du patio intérieur en collaboration avec les services techniques municipaux. Pour 2025, la programmation artistique est finalisée et les premiers artistes exposeront dès l’ouverture du Patio des Arts.
Un programme culturel riche et varié
L’association a également proposé trois ateliers estivaux – calligraphie, collages et dessin animé – ainsi que la création d’un Club des Arts Calligraphiques, qui se réunit désormais chaque mois.
Augmenter le nombre d’adhérents
Jacline Rod, trésorière, a dressé le bilan comptable, soulignant une trésorerie saine et un exercice financier positif. Les principales dépenses ont concerné la rémunération d’une conférencière, le renforcement des temps d’ouverture durant l’été et l’organisation des vernissages.
Toutefois, elle a insisté sur la nécessité d’augmenter le nombre d’adhésions et de continuer à solliciter les subventions municipales, intercommunales et régionales, essentielles au fonctionnement de l’association.
Des perspectives ambitieuses pour 2025
Brenda Sanders, membre du Conseil Collégial, a présenté les projets à venir :
Quatre expositions, d’avril à novembre, avec une rotation tous les deux mois et la participation de trois à quatre artistes par session (peintres, sculpteurs, photographes, calligraphes, dessinateurs).
Un espace dédié aux artistes locaux permettant d’exposer les œuvres issues des ateliers ou d’autres initiatives.
La poursuite du Club des Arts Calligraphiques, avec des rencontres mensuelles.
Des stages artistiques, proposés par des professionnels, incluant un atelier d’écriture et un stage de dessin.
L’organisation de concerts et d’animations culturelles en complément des expositions.
Avec cette nouvelle dynamique et l’ouverture prochaine du Patio des Arts, l’année 2025 s’annonce pleine de promesses pour les Amis de la Maison Jacob.
La programmation artistique 2025
Dans leur nouvel espace, « Le Patio des Arts » les Amis de la Maison Jacob, vont maintenant inaugurer, le dimanche 6 avril, à 12 h, les locaux ainsi que le lancement de la programmation artistique 2025.
Quatre temps forts sont prévus sur l’année et ce n’est plus un mais plusieurs artistes qui vont exposer durant plus d’un mois.
De la peinture à la sculpture, du dessin à la photographie, chaque exposition sera une découverte offrant une expérience immersive dans les différents mondes artistiques.
Du 6 avril au 25 mai : Nicole Pfund, Gilles Bonnin, et Gérard Lauret.
Du 1er juin au 27 juillet : Anne Noriot, Jaco et Jean-Pierre Traisnel.
Du 3 août au 21 septembre : Solène Bérus, Lesley Powels, Pierrette Vergnes et Anne Turlais.
Du 5 octobre au 9 novembre : Cathy Osztab, Stephen Harper, Hélène Despeyroux et Alyssia Banon.
Ouverture : vendredi et samedi de 15 h à 18 h et dimanche de 10 h 30 à 12 h 30. Contact et renseignement : amismaisonjacob@gmail.com
Souscription. L’Association Aqui l’Oc a le plaisir de vous annoncer qu’elle éditera bientôt le dernier livre de Félix Daval « Lo Blaublu e la Silveta ».
C’est une histoire écrite dans une langue simple et poétique. L’auteur nous raconte au fil des saisons, la vie des oiseaux qui peuplent les vallons, entre noisetiers et aubépines. Ne perdons pas de vue le vol tantôt paisible tantôt affolé de Glanet, le geai. Lui, comme les mésanges, sera un jour dans la tourmente face aux prédateurs comme les buses ou les faucons pèlerins. Dans cette nature cruelle, heureusement, on parle aussi d’amitié, de solidarité et même d’amour.
Le QR code permet d’écouter des extraits de l’histoire et de se familiariser avec la langue occitane grâce aux élèves bilingues de 6°-5° du collège de Lacapelle-Marival et à leur professeur Stéphane Clerc. Texte bilingue : texte occitan puis texte en français traduit par Christine Rouchet Tible. Illustrations : Cric.
Souscription possible du 31 mars au 2 mai inclus. Merci de télécharger le bulletin sur le site http://www.espacioccitancarcinol.com et de l’envoyer accompagné d’un chèque de 10 euros, à l’ordre de Association AQUÍ L’ÒC.
L’Association AQUÍ L’ÒC a le plaisir d’accueillir le duo Baltrashtrad pour un bal familial le dimanche 23 Février prochain, à 15H, à l’Espace Occitan à Saint-Céré.
Sur les notes d’un blues occitan, Baltrashtrad chante et raconte des chemins de vie, des histoires de femmes, d’hommes, des histoires d’amour. Guitare, banjo, voix et percussions se mêlent pour nous délier les gambettes et nous emporter dans le tourbillon de la vie.
Un moment délicieux et convivial à ne pas rater !
Entrée : 6 euros. Gâteaux et boissons sur place. Contact : 06 73 62 64 63 / asso.aquiloc@gmail.com
La disparition récente de l’enfant de Cahors nous invite à faire référence à l’hommage qui lui a été rendu en 1999, à l’occasion de la 9e édition des rencontres internationales francophones organisée par l’Association des Ecrivains de Langue Française et son équipe lotoise, présidée par le professeur Edmond Jouve.
Charles Dumont vient féliciter l’orateur (2e à partir de la droite)
C’est Jean-Yves Brunerie, fidèle de l’équipe, qui nous offre ce beau portrait de Charles Dumont, délivré en sa présence et qui s’ouvre sur la première rencontre avec Edith Piaf, celle qui l’a conduit vers la renommée. Ce texte ponctué de témoignages de la presse de l’époque et des relations avec les acteurs du monde du spectacle, nous donne à voir qu’il suffit souvent qu’un seul rendez-vous, fortuit ou provoqué, peut être déterminant pour la construction d’une carrière.
Pour lire la communication de Jean-Yves Brunerie (enseignant, habitant de Payrac) CLIQUEZ CE LIEN
Régulièrement informés par le site du dispositif interministériel d’enrichissement de la langue française sous forme de lettre d’information, nous pouvons – comme tous les citoyens d’ailleurs – suivre les nouveautés de notre langue.
Pour illustrer ce propos, nous avons choisi un terme rattaché au cyberharcèlement
Haineur, -euse
Ce terme désigne une personne qui utilise la toile et les réseaux sociaux pour inciter à la haine envers un individu ou un groupe.
Cette appellation, dont la consonance rappelle l’anglicisme hater, apparaît comme un néologisme, mais elle est empruntée au moyen français. Le suffixe -eur souligne bien une démarche active, d’incitation à la haine. Autre avantage du terme français, il permet de préciser si l’internaute fauteur de haine est un homme ou une femme puisque l’on dispose, avec cet équivalent, du féminin haineuse.
Ce concept rejoint celui de cyberharcèlement. Une enquête a révélé ce mois-ci que près d’un enfant ou jeune sur quatre y avait déjà été confronté.
Si vous souhaitez poursuivre la lecture complète de la lettre de ce mois, cliquez CE LIEN