Auteur/autrice : Gilles Chevriau Page 5 of 36

De nouvelles rencontres avec l’ATA en ce début septembre

MARDI 3 SEPTEMBRE, à 19 heures, Pierre SAUNIER, concepteur et réalisateur de documentaires, vient nous offrir une vision singulière du monde.

D’abord quelques images sur le Laos… En Janvier 2019, Pierre a passé un mois au Laos… À partir de certaines images tournées durant son voyage, il évoque des moments de vie et les stigmates encore présents de la guerre du Vietnam.

Puis il nous présentera un autre documentaire sur Martin Nadaud « J’ai manié la plume en même temps que l’outil ». « Quand le bâtiment va, tout va » Peu de gens savent que c’est à Martin Nadaud, ouvrier et représentant du peuple que l’on doit cette formule populaire retenue par l’histoire. Figure emblématique du bâtiment, originaire d’une terre de longues migrations, ce creusois est un des pionniers de la république.

A découvrir et échanger !

Le SAMEDI 7 SEPTEMBRE, à 19 heures, Daniel BIROU et Colette CHANTRAINE viennent nous présenter l’ONG Amnesty International : actions significatives dans le monde mais aussi en France autour des problèmes que rencontre notre société française. Nous aborderons les sujets d’actualité pour lesquels Amnesty joue un rôle de première importance et notamment les questions de l’immigration climatique et des violences à partir de l’informatique sur les privations de liberté !

Venez nombreux. Nous sommes tous concernés et les échanges seront passionnants !

Le repas partagé sera sous les ifs – sucré / salé.

Participation libre pour les frais de déplacement et soutien à Amnesty.

Prévenez de votre présence pour la logistique.

A bientôt !

Mado et François Thiveaud 06 84 78 33 16

L’association ATA est partenaire de Quercy net

L’été en Quercy : Le conseil départemental vous invite sur sa planète !

Une « Planète Lot » oui, pourquoi pas, mais elle manque de signalétique avec au surplus des rendez-vous … sur 2023

Quant au formulaire pour s’inscrire, il  vous invite même à réviser votre anglais  https://www.eventbrite.fr/o/departement-du-lot-29656374561

Sans doute quelques erreurs de jeunesse mais cela devrait s’arranger 😉

Le faiseur de barque

L’histoire de la construction d’une barque de la Dordogne lotoise par Roland PLAGNE (96 ans), le dernier constructeur de barques de la vallées de la Dordogne quercynoise.

Un film de Thierry RAIMBAULT, sur une idée originale de Philippe DORTHE. Une production EPIDOR. Merci à toute l’équipe. L’acteur principal Roland PLAGNE. Pierre JEANOT Jacky SALAMAGNE Franck CLARE Françoise VIGIER Patrick VIGIER Jean-Pierre CAUSSIL Jean-Louis CHEZE, Dominique CHEZE Michel GRANOUILLAC et à tous les carennacois qui ont aidé d’une manière ou d’une autre. Merci pour son soutien à Raphaël DAUBET Sénateur du Lot. Merci à Christophe PROENCA, Député du Lot, Président de CAUVALDOR, Merci à Jean-Christophe CID, Maire de Carennac.

Merci à Nicole Bonnet de nous avoir signalé ce sujet fort intéressant

Vallée du Célé : l’eau et la pierre (reportage TF1 du 22 août 2024)

L’été est là, pensez à débroussailler !

Afin de limiter tout risque d’incendie, pensez à débroussailler et couper l’herbe autour de vos habitations.

L’article de référence  L.2213-25 du Code Général des Collectivités Territoriales prévoit une obligation pour le propriétaire (ou ses ayants droits) d’entretenir un terrain non bâti situé à l’intérieur de la zone d’habitation ou à une distance maximum de 50 mètres des habitations, dépendances, chantiers, ateliers et usines lui appartenant.

Vous êtes concerné par cette obligation si vous êtes propriétaire de bâtiments ou d’équipements situés à moins de 200 mètres de bois, forêts, landes, maquis et garrigues.

Le non-respect de l’obligation de débroussaillement vous expose à des sanctions : la commune peut vous demander une astreinte de 100 euros maximum par jour de retard ou une amende administrative pouvant aller jusqu’à 30 euros par mètre carré non débroussaillé. Vous risquez également une amende pénale pouvant aller jusqu’à 750 euros (voire 1500 euros si vous vous trouvez dans un lotissement).

Rappel : les haies doivent être taillées par les occupants de façon à ne pas déborder sur la voie publique.

Pour savoir si vous êtes concerné par l’obligation légale de débroussaillement, vous pouvez contacter la mairie, la préfecture ou vous rendre sur https://www.ecologie.gouv.fr/feux-foret-et-vegetation, où vous trouverez toutes les informations utiles.

A la découverte des noms de lieux du Quercy et des communes du Lot – Toponymie lotoise –

Un ouvrage de référence pour toutes et tous : profitez du prix de souscription pour le commander avant le 31 août ! (voir conditions en fin de cet article)

 

Mon village, mon hameau, d’où lui vient son nom ?
Les noms de lieux ont une histoire que la toponymie a pour but d’expliciter. Ils sont, d’une part, les précieux témoins linguistiques des relations entre l’homme et son milieu, retraçant par exemple ses efforts incessants pour mettre en valeur la terre, maîtriser la nature, développer les industries locales.

Ils sont également les vestiges de certaines pratiques culturelles et cultuelles, et ont parfois conservé le souvenir d’une peuplade qui occupait un territoire, du fondateur d’une cité ou du propriétaire d’un domaine.

Inscrits dans le temps, les noms des villes et des villages, de régions, de montagnes et de rivières, et même de parcelles, appartiennent à une langue et un espace géographique donnés (gaulois, gallo-romain, germanique, français, ou langue régionale).

Les auteurs
Gaston Bazalgues est issu d’une famille de paysans lotois. Professeur émérite de l’université Paul Valéry (Montpellier), on lui doit le manuel d’apprentissage de l’occitan languedocien, sans oublier sa thèse sur « Le parler occitan de Couzou en Quercy ». Il a collaboré à diverses revues comme Viure, Lutte occitane, Lenga et la Revue des langues romanes. Avec son épouse Jacqueline, docteur de troisième cycle en Etudes romanes, il participe à la rédaction de l’Encyclopédie Bonneton ainsi qu’à l’ouvrage Le Lot, 100 lieux pour les curieux.
Parmi leurs publications sous leurs signatures : « De pech en combes », « mariage en Pays d’Olt », « Du cabécou du Quercy au Rocamadour AOP, chèvres, hommes, femmes… au fil de l’histoire »

L’ouvrage : 140 pages / nombreuses illustrations / dos carré collé / format 16 x 24 cm / prix de souscription (jusqu’au 31 août 2024) 15 € au lieu de 20.
Deux possibilités pour acquérir cet ouvrage :
> en téléchargeant le bulletin de souscription : toponymie_bulletin_souscription

> souscription avec règlement par CB : cliquez CE LIEN pour accéder au site de l’éditeur (édicausse)

Le haut Ségala : La Maison Marot À Sénaillac-Latronquière (Lot)

QUELQUES PARTICULARITÉS DE LA CHARPENTE DU HAUT SÉGALA :
L’EXEMPLE DE LA MAISON MAROT  À SÉNAILLAC-LATRONQUIÈRE (LOT)

Avant-propos : La maison Marot à Sénaillac-Latronquière est une ferme du XVIIIe siècle située dans le haut Ségala (nord-est du Quercy). Son développement additif reflète les besoins de l’économie paysanne essentiellement autosuffisante jusqu’aux années 1960. L’édifice se distingue par sa vaste toiture à faible pente et à large débord, couverte de tuiles canal, et par sa charpente à fermes triangulées, aux potelets encaissés dans le mur de surcroit, propre au Figeacois. Ces éléments, ainsi que d’autres caractéristiques de construction, révèlent l’adaptabilité et la continuité du vocabulaire vernaculaire local jusqu’à la fin du XXe siècle.

L’article ci-joint très documenté est publié dans la Revue du CERAV (Centre d’Etudes et de Recherches sur l’Architecture Vernaculaire). Nous ne pouvons que vous inviter à en prendre connaissance, les deux auteurs faisant autorité dans leurs compétences respectives mises en commun pour restituer l’étude de ce bâti traditionnel du haut Ségala.

Francis Kelly (Auteur) est ancien inspecteur des monuments anciens et des bâtiments historiques en Angleterre et membre de longue date du Vernacular Architecture Group et de la Society for the Preservation of Ancient Buildings de ce pays. En France, il est membre de Maisons paysannes de France (MPF) et vice-président de l’Association pour la sauvegarde des maisons et paysages du Quercy (ASMPQ). Il vit aujourd’hui dans le Lot et s’intéresse au patrimoine rural et, en particulier, à la construction traditionnelle du Quercy.

Catherine David-Le Clerc, qui a bien voulu se charger de la mise au propre de nos dessins et relevés est architecte spécialiste en patrimoine paysager et peintre. Elle est au comité scientifique de l’association Visages du Ségala, qui s’occupe de la maison Marot, et elle fait partie de l’Association de sauvegarde des maisons et paysages du Quercy (ASMPQ), qu’elle représente dans certaines commissions. Elle écrit aussi des articles concernant le bâti rural et les paysages historiques du Quercy.

Pour lire l’article : CLIQUEZ CE LIEN

 

Référence

Quelques particularités de la charpente du haut Ségala : l’exemple de la maison Marot à Sénaillac-Latronquière (Lot)
L’Architecture vernaculaire, CERAV, Paris

tome 48-49 (2024-2025)

http://www.pierreseche.com/AV_2024-2025_Kelly.htm

17 juin 2024

La faux : un outil dans l’air du temps

Cet outil est apparu vers le XIIe siècle en France et fut utilisé, dans un premier temps, pour couper l’herbe. Ce n’est qu’à partir du XVIè siècle que l’on remplacera la faucille par la faux pour la récolte des céréales. Aujourd’hui des faucheuses mécaniques puis des moissonneuses-batteuses font de la faux un outil en voie de disparition, son usage ayant fortement régressé avec l’apparition de ces nouvelles techniques.

Pourtant cet outil est dans l’air du temps. Tombé en désuétude avec l’arrivée des moissonneuses, on redécouvre aujourd’hui les nombreux avantages de la faux (ou faulx) : ne consommant pas d’énergie, elle est économique, écologique, mais aussi silencieuse, efficace, et d’un maniement simple et non pénible lorsque le geste est maîtrisé.

Elle peut donc se positionner comme une alternative sérieuse aux tondeuses, débroussailleuses et autres engins mécanisés, lourds, polluants et coûteux.

RENDEZ-VOUS LE 16 JUILLET à partir de 9 H /
Anglars-Nozac / Première route à droite après l’école

Source Blog des Bourians

Les jeux Olympiques dans l’Antiquité : scandales et tricheries

Le 8 juillet, à 21 heures, à la salle voûtée, à côté de l’église de Saint-Martin-Labouval, l’association Latitude, les Amis de Barbara Phillips accueillera André Tulet pour la première conférence de l’été 2024.

André Tulet est un contributeur régulier à L’Université pour tous Cahors Quercy (UPTC) où il a présenté un cycle de conférences sur les pays du Moyen-Orient. Il nous invitera à réviser notre vision sur les jeux dans l’Antiquité. Sont-ils bien les ancêtres des JO modernes ? Ou notre perception repose-t-elle sur un malentendu ? En recréant les JO après la défaite de 1870, Pierre de Coubertin a voulu donner à la jeunesse un idéal de substitution. Il a donc mythifié les jeux antiques et les a décrits comme des concours nobles et chevaleresques. Mais en réalité, qu’en était-il de l’amateurisme? L’esprit sportif? L’éthique? Cette séance devrait contribuer à rétablir une image des jeux antiques moins idéalisée et plus conforme à la réalité historique.

La séance sera suivie d’un pot de l’amitié offert par l’association. Entrée gratuite.

contact@latitudebarbara.net / www.latitudebarbara.net / 0645707516

L’association Latitude Les amis de Barbara Philipps
est partenaire de Quercy net

Les 24 églises de l’ancien canton de Castelnau-Montratier

Balade en drone avec le concours des associations Musicarpège et A.C.C.C.M.

 

L’eau, trésor des causses du Quercy par André Décup

Sur les causses, l’eau, ressource rare, est indispensable à l’homme comme au bétail. Elle donne lieu depuis toujours à des aménagements pour la collecter et la stocker. Olivier Reynal nous propose dans son ouvrage « L’eau à Espédaillac » paru en mai 2024, son travail photographique et le résultat de ses recherches qui viendront enrichir le patrimoine de la commune, l’une des plus vastes et des plus sauvages des causses.

« Il fallait trouver l’eau, parfois avec l’aide d’un sourcier, puis arrivaient le puisatier et le bâtisseur de pierres sèches. L’entreprise était loin d’être anodine. En effet, si la commune d’Espédaillac (sur le causse de Gramat), bénéficie depuis 50 ans d’un réseau d’adduction d’eau potable, elle a dû se contenter autrefois, comme toutes ses voisines du causse, de ses ressources naturelles. Les hommes, au fil de leur histoire, n’avaient pas d’autres choix pour vivre que de scruter en permanence ce que la nature mettait à leur disposition ». Ainsi, est résumée dans l’ouvrage d’Olivier Reynal « L’eau à Espédaillac », la survie de nos ancêtres sur les zones arides de l’Europe occidentale.

Le causse, c’est la chaleur et la sécheresse « Les Causses pour moi, c’est la chaleur torride, le désert, des collines où émergent des hameaux que la soif a vidés » écrit en 1993, la romancière Françoise Sagan (née à Cajarc) dans son ouvrage « Et toute ma sympathie ».

Un pays aux étés chauds et secs sur des terres arides où l’eau manque. C’est l’image même qu’on garde du Quercy : un désert… ou presque. Le « désert de la Braunhie », c’est l’appellation officielle de cette petite région un peu mythique chargée de légendes. Qui tient toute entière dans un polygone limité par les villages de Lunegarde, Quissac, Fontanes-du-Causse et Reilhac.

Avec Espédaillac pour figure d’emblème. Si le paysage de la commune est façonné par l’élevage de la brebis à lunettes dite « la caussenarde », géologiquement c’est une table de calcaires massifs.

La grande sensibilité de ces roches à la dissolution a favorisé l’enfouissement des eaux. Ce qui donne à l’habitant ou au visiteur l’apparence de surfaces étendues et monotones.

C’est cette association de « pechs » (plateaux) et de « combes » (creux cultivables) qui rend le mieux compte de la structuration de l’espace du causse. Nous sommes au paradis du caillou. La roche affleure partout en dalles plus ou moins continues et éclatées ne donnant que des sols peu fertiles presque entièrement couverts de chênes pubescents.

Les limites parcellaires sont limitées elles aussi, par des kilomètres de murettes de pierres. Les champs, car c’en était, sont parsemés de tas d’empierrement de plusieurs mètres de haut entourés de cazelles (petites cabanes de pierre sèche). Tout témoigne d’un passé des Caussenards obligés de mettre en valeur les terres les plus ingrates.

L’eau au fil des siècles. L’action de l’eau sur la roche est particulièrement déterminante dans la formation du Quercy. Région recouverte par la mer à l’ère secondaire, elle est aujourd’hui principalement composée de vastes plateaux, fruit d’une lente sédimentation qui a accumulé une couche importante de dépôts calcaires.

Partout le calcaire a été le matériau privilégié avec lequel les paysans ont du « coopérer ». Ils l’ont utilisé pour entourer les troupeaux, couvrir les maisons et creuser des abreuvoirs pour les bêtes.

« À la centaine de points d’eau d’origine naturelle (de la commune) réservés à la consommation humaine, il faut ajouter les réservoirs alimentés uniquement par l’eau des toitures. Et les habitants avaient un puits, une citerne ou parfois les deux » note Olivier Reynal.

« L’eau est nulle part et partout : elle ruisselle, s’engouffre en profondeurs, resurgit à l’improviste là où on ne l’attend pas. L’homme a su la capter, l’apprivoiser… »

« Le XIXe  siècle sera un grand aménageur de points d’eau. Cette période de développement agricole (et démographique) est propice à l’apparition de dispositifs de maîtrise de la ressource en eau. À cette époque, le développement de l’élevage invite à dissocier l’abreuvement du bétail de la consommation humaine pour éviter que les bêtes ne souillent l’eau. Ainsi certains usages domestiques et agricoles peuvent cohabiter. Les grands lac-abreuvoirs des coudercs d’Espédaillac sont bordés de pierres de lavage pour les grandes lessives saisonnières.

Dans le village si on observe quelques citernes, l’alimentation en eau des maisons est surtout assurée par l’accès à de grands puits à ciel ouvert répartis dans le bourg. Parfois un abreuvoir est installé à proximité pour le bétail. Les troupeaux plus importants utilisent les grands abreuvoirs des coudercs. Les bêtes accèdent à l’eau par un plan incliné taillé dans le roc. Parfois un petit bassin de décantation bloque une partie des sédiments au fil de l’eau » note un rapport de la Commission du Patrimoine du Lot de 2018.

L’eau, la précieuse ressource Les causses que l’historien Jules Michelet comparait d’une façon très imagée aux « vagues géantes d’une mer immobile » occupent les deux tiers du département du Lot. Ces étendues calcaires jurassiques de 200 millions d’années qui ne dépassent pas 400 m d’altitude portent chacun le nom de la localité la plus importante.

Ces vastes plateaux sont l’âme du Haut-Quercy. De la préhistoire à nos jours, l’homme y a complètement façonné le paysage par un travail incessant. Il a déboisé la forêt, épierré le sol, et avant tout, capté les eaux de pluie.

Depuis, l’eau est nulle part et partout : elle ruisselle, s’engouffre en profondeurs, resurgit à l’improviste là où on ne l’attend pas. Souterraine donc souveraine et indépendante, l’homme a su la capter, l’apprivoiser pour devenir fontaines, lavoirs ou mares à tel point qu’on peut parler ici d’une véritable architecture de l’eau.

Aujourd’hui, dans les villages, on est en train de prendre conscience de cette multitude de points d’eau qui avaient jusqu’ici engendré la vie. Chaque génération a fait preuve d’ingéniosité pour la conserver, la protéger et adapter sa « domestication » aux besoins de la vie courante.

« Il est plus facile d’ouvrir un robinet que d’aller remplir le récipient plusieurs fois par jour, même quand la distance à parcourir est faible. L’évolution de nos conditions de vie nous imposera peut-être un jour de réfléchir à notre façon d’utiliser l’eau » conclut Olivier  Reynal dans son ouvrage.

L’eau, ressource fondamentale depuis la nuit des temps, hante toujours l’esprit des hommes. Si on a de l’eau « à volonté » à notre disposition, la crise écologique annonce des problèmes à venir.

Précieuse ressource, presque invisible à la surface du causse, l’eau par ses infiltrations souterraines, a sculpté au fil des millénaires, gouffres, canyons, gorges, avens et grottes. Pour en faire « la Terre des merveilles ».

André DÉCUP

Avec l’autorisation de l’auteur et de l’hebdomadaire La Vie Quercynoise que nous remercions pour la grande qualité des articles que nous partageons toujours avec grand plaisir.

Illustration de l’article : lac de Saint-Namphaise (Wikipédia)
L’ouvrage « L’eau à Espédaillac » est disponible en librairies, maisons de la presse et chez l’éditeur édicausse

Briqueteries et fours à chaux : un ouvrage en souscription

Tuileries, briqueteries, fours-à-chaux, témoins de l’industrie locale et de l’esprit d’entreprise des Lotois d’autrefois.

Ce livre, en souscription,  se propose de faire revivre pour nous les vestiges de notre passé industriel local. En effet, ce qui reste des anciennes installations de production de matériaux de construction tels la tuile, la brique et la chaux témoigne de l’innovation technologique et de l’esprit d’entreprise de nos ancêtres, et à ce titre mérite d’être soigneusement préservé.

Edition au format 21 x 29,7 cm – 320 pages couleurs – couverture souple – parution octobre 2024
Contact : Didier Rigal – 423 impasse de Camy – 46 330 Cabrerets – email : didier.rigal-camy@orange.fr

BULLETIN DE SOUSCRIPTION A TÉLÉCHARGER EN CLIQUANT CE LIEN

A.T.A. : demandez le programme 2024 !

Et voilà, le programme 2024 du 15 juin au 15 septembre.
Riche et varié, il propose de belles rencontres pour découvrir de belles choses.
Nouveauté cette année avec des ateliers dans la journée : les pré-inscriptions sont possibles dès maintenant ; elles permettent de réserver l’intervenant car certains habitent loin !
Nous allons nous retrouver donc deux fois par semaine à votre choix, les mardis et vendredis, sauf certaines dates! mais vous serez prévenus assez tôt !
Et peut-être ajouterons-nous d’autres ateliers ou visites à l’extérieur. A suivre. Vous pouvez faire des propositions, bien sûr!
Attention le programme joint est sur deux pages (Téléchargement du PROGRAMME 2024)
A bientôt donc le plaisir de faire ce bout de chemin avec vous du 15 JUIN AU 15 SEPTEMBRE.
Mado Thiveaud, Présidente / François Thiveaud, Secrétaire / Brigitte Guyon, Trésorière.
ATA est partenaire de Quercy net

Latitude – les Amis de Barbara Phillips : un beau programme pour célébrer les 25 ans de l’association

Lassociation Latitude-les Amis de Barbara Phillips a le plaisir de reprendre ses rencontres estivales à Saint-Martin-Labouval, où la municipalité laccueille dans la salle voûtée, en face de l’église. Deux exceptions : la célébration des 25 ans de lassociation, le 19 août débutera à 9h30 à Vers par une visite accompagnée de laqueduc antique de Divona-Cahors avec l’archéologue Didier Rigal. Elle se poursuivra à 19h au Refuge du Frau, 5793 route de Sauliac, Saint-Martin-Labouval avec une collation légère offerte par lassociation, suivie dun concert avec les musiciens qui ont accompagné ces 25 années, Patrick Bardelli, Michel Griffin et ses amis, et Patrick et Daniel Portales. Inscriptions préalables demandées, pour ces deux événements, de préférence par mail, ou, à défaut, au 06 36 35 79 18.

La seconde exception sera la dernière rencontre de cette année, le lundi 2 septembre à la Halle de Limogne où Geneviève Cornu nous parlera de la création artistique.

Ces rencontres se tiendront à 21 heures.

> Juillet :

  • le 8, « Les jeux Olympiques dans lAntiquité : scandales et tricheries » par André Tulet, amateur dhistoire ;

  • le 15, « La médecine hier, aujourdhui et demain » par Gérard Amigues, ancien médecin ;

  • le 22, « La biodiversité au cours des temps : La vie n’est (vraiment) pas un long fleuve tranquille » par Gilles Escarguel, paléontologue ;

  • le 29, « Johannes Vermeer ou les sentiments dissimulés » par Jeanne Janiczak, passionnée de peinture.

> Août :

  • le 5, « Affaire sensible : Abel Bessac, André Breton et le mammouth du Pech Merle » par Michel Auvray, historien et journaliste ;

  • le 12, « Enfance paysanne lotoise au milieu du XXe siècle »par Christophe Wargny, universitaire et écrivain ;

  • le 26, « Lecture de poèmes de la Résistance » par Jean-Luc Axelrad, amoureux de poésie (cette séance sera précédée, à 18h30, de l’Assemblée générale annuelle de lassociation et, à 20h, dun repas partagé).

  • le 2 septembre, à la Halle de Limogne, « Comprendre la création artistique » par Geneviève Cornu.

Contact et renseignements : contact@latitudebarbara.net
Site Internet : http://latitudebarbara.net/
Tel : 0645707516

*
L’association Latitude les amis de Barbara Phillips est partenaire de Quercy net

Musée Pierre Andrès : l’avant-programme s’affiche

Le Musée Pierre Andrès ouvrira en juillet, août et jusqu’à la mi-septembre
– seulement sur rendez-vous au 06.74.35.35.58 –

Du 1er au 18 août, ouverture quotidienne de 15 à 18 h

Au programme sont annoncés pour le  Jeudi 1er Août 2024 :
18h :vernissage de l’exposition du peintre Jacques Trouvé, suivi d’un buffet convivial
20h : concert lyrique de Céline Furrer-Labeyrie, ancienne chanteuse de l’Opéra de Bordeaux. Elles sera  accompagnée au piano par Eric Baustert (libre participation aux frais)
(Schubert, Rossini, Poulenc, Offenbach, Händel, Bizet ,etc… durée 1h15.).

Page 5 of 36

Fièrement propulsé par WordPress & Thème par Anders Norén